Prendre la plume peut tuer, triste constat d’un déni de toute démocratie et de toute humanité. Le massacre des dessinateurs de Charlie-Hebdo, des policiers, des clients du supermarché juif impose le recueillement et la compassion. Saluons ici le courage et la détermination de tous ceux qui sont tombés soit pour avoir exprimé leurs idées, soit pour des raisons ethniques.
Ce massacre soulève une réprobation générale mais pose beaucoup de questions. Comment ces tueurs ont ils pu en arriver là ? S’ils ont appris à tuer dans un autre pays, est-ce en France, sur notre sol, qu’ils ont acquis leur « formatage » initial et une haine telle qu’elle les a conduits à assassiner. Qui le leur a inculqué ? Il est temps de rechercher qui a formé ces assassins et de neutraliser leurs recruteurs.
Autre question, avec quel argent ont-ils pu acquérir ces armes de guerre pour monter une pareille tuerie ? L’argent de la drogue, entre autres sources, y contribue. Voila qui devrait faire réfléchir les tenants de la dépénalisation, voire de la légalisation des drogues. Il est temps d’ouvrir les yeux, de refuser toute compromission et de s’opposer à ceux qui alimentent le marché du terrorisme international.
Notre objectif est de prévenir les consommateurs éventuels ou confirmés des méfaits des drogues dans un but de santé publique. Mais ces tristes événements démontrent à l’évidence d’autres conséquences qui dépassent les seuls consommateurs et prennent une dimension idéologique et criminelle. Ils attentent à l’humanité et à la démocratie. Nouvelle raison de réagir, Ils nous confortent dans notre engagement et dans notre détermination à les combattre.
Aucune idée, aucune religion, aucune race ne justifie de tels actes.
JP Tillement et JP Goullé
12 janvier 2015 at 18:44
Pierre Beyries CNID32
Jean Marc ROUILLAN un gersois qui abattu Georges Besse parce qu’il était le président de Renault avec le groupe Action Directe raconte dans un de ses 5 livres ( édition le lézard) toute sa dérive cannabique et son usage de LSD;
Son groupe totalement imbibé de produits psychotropes dérivera dans l’hyper violence accroché à un idéalisme politique de dérive sectaire.
Le produit favorise ce fantasme du surhomme face au reste de la société devenue exécrable.
Même itinéraire chez ces jeunes grands consommateurs et dealers de cannabis et autres produits , passés par la prison et ses salles de musculations amphétaminées , venus de milieux équilibrés et « tradi » ou de banlieue et famille « explosées ».
Point communs: cannabis internet images de guerres et ultra violence,
puis amphé et guidage par des gourous sectaires sur intelligence affaiblie.
Exhaltation et débordement qui gomme l’humanité.
Hachichins ASSASSINS
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