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mars 2011

Une bonne nouvelle !

Le Centre National de Prévention, d’Etudes et de Recherches sur les Toxicomanies, le CNPERT, se mondialise.

Il ouvre ce blog qui facilitera la diffusion de ses travaux, l’écoute de ses correspondants et sera nous l’espérons, un moyen efficace de lutter contre toutes les formes d’addiction.

C’est notre objectif principal : informer nos concitoyens du redoutable danger que porte l’utilisation des drogues, de la désinformation scandaleuse que subit l’opinion publique, de la gravité de la banalisation des drogues existantes et de celles, nouvelles qui se créent tous les jours et de l’offre irresponsable à des sujets fragiles ou inconscients, considérés comme de simples usagers,  d’un véritable fléau. 

Vos suggestions, réactions et contributions nous sont indispensables. N’hésitez pas à nous en faire part en cliquant ci dssous sur « Laisser un commentaire ».

Bienvenue sur : www.DrogAddiction.com

Pour ensemble lutter contre l’indifférence, la lâcheté et l’abolition des valeurs qui fondent notre société.

Jean-Paul Tillement

Professeur émérite de Pharmacologie
Membre de l’Académie de Médecine.
Membre de l’Académie de Pharmacie.

Nouveau regard sur le cannabis par Jean COSTENTIN Professeur de Pharmacologie

Pour lire l’article du Professeur Costentin, cliquez ICI 

Résumé 

On assiste au rajeunissement de l’usage du cannabis / marijuana / shit…, à l’accroissement du nombre de personnes qui s’y adonnent et à la diffusion de produits dont la teneur en principe actif  (le tétrahydrocannabinol = THC) est décuplée relativement à celle des produits d’antan. Simultanément sont produites des données épidémiologiques qui soulignent sa nocivité, tandis que des études neurobiologiques éclairent enfin ses mécanismes d’action.

Cette revue présente diverses données récemment acquises sur les récepteurs du THC, sur les substances endogènes qui les stimulent ( endocannabinoïdes ), sur les différents effets qu’elles modulent, sur la pharmacocinétique du THC, ses propriétés addictives intrinsèques, ses interactions avec l’alcool et l’héroïne, ses effets psychotoxiques en matière d’anxiété, de dépression, de perturbations cognitives, de schizophrénie, de comportements violents.

Tous ces éléments sont en rupture flagrante avec les propos erronés et banalisants qui continuent d’être tenus sur cette drogue.

Pour lire l’article , cliquez ICI 

Jean COSTENTIN. Professeur de Pharmacologie, Unité de Neuropsychopharmacologie

FRE 2735 CNRS – Faculté de Médecine & Pharmacie – 76183. ROUEN

Lettre N° 10 (Nov. 2010)

Une étude d’imagerie par I.R.M., a été pratiquée chez des sujets  présentant un premier épisode de schizophrénie, les uns fumant du cannabis et les autres pas.

Au cours de la période de suivi, qui a duré 5 années, relativement à des sujets sains, un amincissement de l’épaisseur du cortex a été observé chez les individus schizophrènes dans  le cortex moteur supplémentaire, le cortex frontal inférieur, le gyrus temporal supérieur, le gyrus angulaire, les lobes occipitaux et pariétaux.

Chez ceux d’entre eux fumant du cannabis des régions supplémentaires ont été affectées : le cortex préfrontal dorsolatéral gauche, le cortex cingulaire antérieur gauche,  et le lobe occipital gauche (c’est-à-dire des structures comportant une forte densité en récepteurs CB1, ceux là même que stimule le Tétrahydrocannabinnol du chanvre indien. lire la suite

La Lettre N°9 ( Sept 2010)

Au nom de la Commission VI (Addictions) de l’Académie Nationale de Médecine

Cannabis : un faux médicament, une vraie drogue

Un article de la revue « Courrier international » (n°988-oct.2009), reproduisant un article du journal « Fortune » révèle l’effondrement des digues édifiées contre la diffusion du cannabis par le pouvoir fédéral américain, sous la pression de lois élaborées par certains états en faveur de l’utilisation thérapeutique de cette drogue.

L’application de ces lois présentant le cannabis comme un médicament risque d’en CNPERT N°9 septembre 2010accentuer la pénétration dans la société américaine avec tous les effets délétères qu’on lui connaît.

Le même type d’arguments refaisant périodiquement son apparition dans notre pays, l’Académie nationale de médecine renouvelle en les complétant les réserves émises à ce propos à deux reprises, en 1998 et 2006, et en indique les raisons :

Pour chacune des activités thérapeutiques….. lire la suite

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