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Date

27 octobre 2022

Les Français pourraient économiser jusqu’à 4 032 € en arrêtant l’alcool

Les Français consommant en moyenne deux boissons alcoolisées par jour pourraient économiser près de 4 032 € par an en arrêtant de consommer de l’alcool, a révélé MoneyTransfers.com.

Pour ceux qui consomment de l’alcool de manière modérée, la recommandation des experts est de ne pas dépasser entre 10 et 14 verres par semaine. Dans ce cas de figure, les ménages peuvent réaliser des économies allant jusqu’à 2 016 €.

Selon une étude de l’Insee sur la dépense des ménages en boisson, le consommateur Français moyen dépense 14,7 € par semaine en boissons alcoolisées. Au cours d’une année, cela équivaut à une dépense de 707 € par an. Ce chiffre est supérieur aux dépenses mensuelle moyennes en fruits et légumes frais combinés (qui est de l’ordre de 117 et 222 € par mois). Au niveau régional, les personnes basées en Occitanie dépensent plus par semaine en alcool à la maison que dans toute autre région, à une moyenne de 15,90 € par semaine.

Fait intéressant, les habitant de la région île-de-France dépensent le moins en alcool à usage domestique que toute autre région, avec une dépense moyenne de seulement 10,80 €. Bien que les dépenses moyennes de la région île-de-France en alcool domestique soient étonnamment faibles par rapport à d’autres régions, il est important de ne pas négliger le fait que ses habitants sortent beaucoup plus dans les pubs et les bars, que partout ailleurs dans le pays. Les Pays de la Loire se classent à la 10e place, sur 13, avec un budget de 11.10 euros par semaine et 532.8 euros par an.

Quel est le coût moyen de l’alcool en France ?

A partir des données de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives, nous pouvons calculer qu’en moyenne, pour acheter une bière pression en France, le prix est de 6 €. Ce montant peut diminuer jusqu’à 3.8 € et croître jusqu’à 8 € selon la période de l’année. Un petit verre de vin coûte environ 3 €, tandis que les spiritueux et liqueurs fabriqués en France coûtent en moyenne 10,90 € le litre.

Combien les Français pourraient-ils économiser en renonçant à l’alcool ?

En utilisant les données fournies ci-dessus, MoneyTransfers.com a calculé que le ménage Français moyen pourrait économiser 58,80 € par mois, ou 705,60 € par an en renonçant complètement à l’alcool. Peut-être encore plus choquant, une personne buvant jusqu’à 14 petits verres de vin par semaine (2 verres par jour) pourrait économiser jusqu’à 2 016 € par an en renonçant à l’alcool.

En participant aux campagnes d’absences de consommation d’alcool comme le Sober October ou le Dry January, le consommateur Français pourrait économiser 168€ par mois. Les Français qui boivent de la bière peuvent réaliser d’énormes économies. Pour 2 pintes par jour, ils peuvent économiser jusqu’à 4032 € par an. Pour mettre cela en perspective, avec la facture énergétique moyenne plafonnée à 2 800 €, certains Français pourraient couvrir complètement leur facture énergétique simplement en renonçant à boire.

Source

Le sport restera t’il un rempart contre les toxicomanies ?

Professeur Jean Costentin

Le sport a détourné nombre d’adolescents des drogues et toxicomanies. Il est un remède contre l’oisiveté (« mère de tous vices »)  avec le temps consacré aux entraînements et aux matches ; remède aussi contre l’isolement en développant l’esprit d’équipe et en favorisant les échanges avec d’autres adolescents ainsi qu’avec des entraineurs, adultes dévoués, avec lesquels ils communiquent davantage qu’avec leurs « profs » des collèges, lycées et facultés.


Le sport incite à une diététique équilibrée, à une vie saine. Il stimule l’esprit de dépassement et de saine compétition. Il éloigne du tabac, qui réduit les performances respiratoires et ouvre la voie à d’autres toxicomanies, dont en particulier le cannabis.
Par un effet épigénétique le tabac intensifie les effets de différentes autres drogues, dont ceux du cannabis, qui à son tour, également par des effets épigénétiques, magnifie la perception de drogues, comme la cocaïne ou les morphiniques.


Il est important de savoir et de faire savoir que les consommateurs de cannabis/THC sont porteurs de modifications épigénétiques qu’ils transmettent à leur progéniture, leur conférant, entre autres méfaits, une vulnérabilité aux toxicomanies.
Cet enchaînement, qui s’apparente à une réaction en série, explique l’explosion des toxicomanies.
Le sport a, hélas, vu se développer les « troisièmes mi-temps » alcoolisées, l’intrusion de buvettes dans certains stades, en parallèle avec des campagnes du lobby alcoolier visant à libéraliser l’alcool aux dépens des sportifs et aux profits des clubs sportifs.


L’AMA (agence mondiale antidopage) a régulièrement réduit les sanctions appliquées aux sportifs qui présentaient, lors des compétitions, des cannabinoïdes dans leurs urines, au prétexte que la persistance du THC dans leur organisme était
compatible avec une consommation effectuée à distance de l’épreuve. Le seuil des concentrations urinaires répréhensibles des cannabinoïdes est d’abord passé de 50 ng/mL à 150 ng.

Désormais, si l’enquête fait apparaître que la consommation de cannabis n’est que « récréative » la durée de suspension du sportif, passe des quelques années qu’elle pouvait atteindre antérieurement, à seulement trois mois. Cette durée peut être réduite davantage par la pratique nouvelle d’un « accord de composition administrative » entre l’agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et le sportif.


Alors que notre législation nationale prohibe la consommation de cannabis L’AFLD aligne ses sanctions aux sportifs qui y contreviennent sur celui d’autres Nations qui l’ont légalisé (plusieurs Etats des USA ou encore le Canada, devenu le siège
administratif de l’A.M.A.).
En France, où le cannabis « récréatif » est prohibé, les cannabinophiles pèsent de toutes leurs forces pour le faire adouber comme médicament ; faisant ainsi la courte échelle au cannabis « récréatif ».

Dès l’origine, Il était facile de comprendre que ce détour avait pour but cette légalisation. L’étape suivante visera la légalisation de toutes les drogues, que certains réclament déjà avec véhémence. Nombre de voix s’y opposent mais, n’étant pas relayées par les médias, elles sont inaudibles. La « liberté de la presse » devient en l’occurrence, la dictature des toxicophiles (consommateurs, décideurs subvertis par de puissants lobbies, capitalistes pour les uns, déconstructeurs pour d’autres).


Le principe de précaution et celui du « non nocere » s’effacent. La santé ne semble plus une priorité. Le sport cesserait d’être un rempart contre les drogues, un des moyens majeurs pour entretenir « un esprit sain dans un corps sain ».
La notion de dopage en devenant plus restrictive, offre de plus larges espaces pour l’expansion des drogues ; au point même que le terme drogue semble en sursis, remplacé par des expressions banalisantes : « substances », « substances
psychoactives », « substances d’abus »….


Pour contrer le pire, il faut déjouer les subterfuges, éclairer l’opinion, maintenir la prohibition du cannabis qui permettra de continuer d’interdire sa consommation aux sportifs, comme à quiconque, entravant la course vers l’avilissement de nos jeunes et de notre société.

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