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Mai 2011

Addictologie clinique

Résumé

L’alcool, le tabac, le cannabis, la cocaïne, l’héroïne, les nouvelles drogues de synthèse, et même la nourriture sont autant de supports aux addictions. Mais, les jeux d’argent, les jeux en ligne, l’Internet et le visionnage des séries télévisées se sont révélés être devenus aussi de redoutables produits toxiques. Même les activités sportives et le travail que l’on pouvait penser être des remèdes peuvent devenir des drogues de choix tout aussi redoutables ! Voilà autant de questions auxquelles ce livre tente de répondre. Voici un livre conçu pour  lire la suite

Une information objective sur les méfaits du cannabis…au Royaume Uni :

Quand les Anglais découvrent ses ravages

 

L’histoire commence en 1997 lorsque l’opinion publique anglaise, portée par ses media, déclenche une violente campagne pour obtenir la dépénalisation du cannabis, considéré comme inoffensif. Elle force le gouvernement de l’époque à déclassifier cette drogue la rendant plus facile d’accès

La manchette d’un journal « The Independant » est éloquente (28 septembre 1997) :

  Pourquoi pensons nous qu’il est temps de dépénaliser le cannabis

Cliquez ici pour lire l’article

Dix ans plus tard,  (18 mars 2007) le même journal, mieux renseigné, découvre les ravages du cannabis chez les jeunes anglais et publie en première page :

 Cannabis, des excuses. Si seulement nous avions su ce que nous pouvons révéler aujourd’hui       

Cliquez ici pour lire l’article  

Qu’ont-ils appris :

  • Un nombre inquiétant d’adolescents (teenagers) sont intoxiqués et doivent être traités
  • Le Skunk qu’ils fument est 25 fois plus actif que la résine utilisée 10 ans plus tôt,
  • Il est alors aussi toxique que la cocaïne et l’héroïne, il provoque de multiples atteintes    pathologiques en particulier neurologiques, les plus graves étant des états psychotiques 

Nous savons que les effets du cannabis sont dose-dépendants, leur intensité croit avec la dose mais d’autres effets peuvent apparaître (psychoses)

Le journal fait depuis campagne contre l’usage du cannabis et pour sa re-pénalisation

Bel exemple de réalisme, de courage et d’information responsable.

N’est-il pas possible de le suivre en  France ?

Jean-Paul Tillement

Cannabis : ce que les parents doivent savoir

L’expérience d’un homme de terrain 

L’auteur est le Président de l’Association Parents contre la Drogue. Il appartient au milieu associatif  qui lutte inlassablement pour sortir les toxicomanes de l’enfer de la drogue.

Il le fait avec efficacité et réalisme

Son livre est focalisé sur le cannabis dont il décrit tous les dangers, depuis la supercherie de le présenter comme une « drogue douce » jusqu’aux lésions graves irréversibles neurologiques et cardio-vasculaires en passant par la fréquence des accidents automobiles qu’il provoque et des suicides qu’il peut entrainer.

Beaucoup d’autres informations sont rassemblées, quelques unes très éloquentes : le cannabis facilite le passage à la cocaïne. « Les adolescents qui consomment du cannabis entre 12 et 17 ans sont 85 fois plus susceptibles que les autres de passer ensuite à la cocaïne ». Mais, lorsqu’ils associent  les trois drogues de passage : alcool, tabac et cannabis, le risque est 266 fois plus grand ! La vente des deux premiers est réglementée, qu’arriverait-il si le troisième était en vente libre. Facile à imaginer !

Dans un langage simple, direct, compréhensible de tous, l’auteur s’adresse aux parents auxquels il décrit les risques encourus par leurs enfants, en particulier au moment de l’adolescence.

Il propose des lignes de conduite adaptées à ces situations, parler sans braquer, expliquer sans asséner, convaincre et indiquer comment se libérer de l’emprise de la drogue.

Cet ouvrage apporte aussi une note d’espoir par des témoignages d’anciens toxicomanes qui ont réussi leur sevrage. Tous témoignent de la nécessité d’être aidé, entouré, de vouloir guérir, d’accepter les soins. On doit recommander ce livre à tous ceux et celles qui sont confrontés  à une toxicomanie, ils y trouveront les informations utiles pour être efficace.

Jean-Paul Tillement

Pour acheter le livre (16,15€)

Les salles d’injection : Un remède pire que le mal ?

Conférence de JP Tillement, (CNPERT)

Résumé de la conférence :

Les salles d’injection supervisées, un remède pire que le mal ?

Rappelons l’essentiel de ce projet : créer des salles d’injection, lieux sécurisés où un toxicomane pourrait s’injecter par voie intraveineuse une substance qu’il apporterait, qu’il pourrait dissoudre dans de l’eau, utilisant une seringue qui lui serait fournie (à usage unique) dans des conditions d’asepsie.

L’intention peut sembler généreuse, éviter que l’injection ne se passe dans la rue, apporter un minimum d’hygiène et permettre au toxicomane de (retrouver) trouver un contact avec des professionnels de santé.

Ce projet est irréaliste et très dangereux car il néglige des risques majeurs tant pour l’utilisateur que pour la société. En voici quelques uns : Pour lire la suite cliquez sur Salles d injection supervisees puis sur « Ouvrir »

Un vaccin contre la drogue

Chez la souris, un vaccin déclenche le rejet, par le système immunitaire, de la méthamphétamine, une drogue qui entraine une forte dépendance.

Du cannabis au tabac en passant par la cocaïne, les drogues engendrent une dépendance physique et psychologique. On dispose de peu de moyens efficaces pour lutter contre cette dépendance, et les recherches en la matière explorent diverses pistes. L’équipe de Kim Janda, à l’Institut Scripps en Californie, s’intéresse à la méthamphétamine : grâce à un vaccin, ils obtiennent des souris qui produisent des anticorps neutralisant la drogue. suite

Un plan pour couper les routes de la cocaïne (le Figaro)

10/05/2011 – A l’occasion du G8 des ministres de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy a proposé lundi un fonds international contre la drogue. 

Le G8, qui réunit les gouvernants des pays les plus puissants de la planète, va plancher aujourd’hui sur «les routes de la cocaïne». Une idée soufflée par le président de la République française en personne, Nicolas Sarkozy, en juin, à Muskoka (Canada), pour que les États s’engagent sur un véritable pacte contre les cartels de la drogue, en mutualisant leurs moyens de renseignement et de répression. «À menace mondiale, responsabilité mondiale», dit en substance le chef de l’État, qui a proposé lundi la création d’un fonds international alimenté par les avoirs confisqués aux narcotrafiquants pour financer la lutte contre le trafic dans les États les plus fragiles. Lire la suite de l’article

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