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décembre 2017

Comparez votre consommation d’alcool avec celle de tous les autres pays du monde

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Êtes-vous du genre à ne consommer qu’une quantité infime d’alcool ? Au Koweït, la moyenne par habitant est de 0,1 litre d’alcool pur par an. C’est le pays avec la moyenne la plus basse. En Biélorussie, par contre, l’on monte jusqu’à 17,5 litres d’alcool pur par an. C’est la moyenne la plus haute. Et vous, où vous situez-vous ? Pour le savoir, il suffit de cliquer ici. Le site de la BBC a mis au point un programme qui vous permet de découvrir à quelle partie du monde ressemble votre consommation d’alcool.

Pour vous tester, il vous suffit d’indiquer votre consommation d’alcool lors de la semaine écoulée. Pas de tricherie !

Sachez, par exemple, que le Belge consomme en moyenne 11 litres d’alcool pur par an. Se répartissant comme suit : 5,4l de bière, 4l de vin et 1,5l d’« autres ». Notre Royaume se situe plutôt dans les hautes sphères de la consommation d’alcool !

Plus la couleur est foncée, plus la consommation d’alcool est importante par habitant.
Plus la couleur est foncée, plus la consommation d’alcool est importante par habitant.

Le programme se base sur les données recueillies par l’OMS, l’organisation mondiale de la santé. Pour éviter des problèmes de santé dus à l’alcool, les indications officielles en Grande-Bretagne recommandent de ne pas consommer plus de 14 unités par semaine. Sachant, par exemple qu’un shot d’alcool fort correspond à une unité. Et qu’une bière classique tournant autour de 5 % d’alcool coûte déjà 2,8 unités.

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Alcool : comment la taille du verre influe la consommation

Publié par Audrey Vaugrente, journaliste santé le Vendredi 15 Décembre 2017 

Les verres de grande taille favorisent une surconsommation d’alcool, d’après une étude. La limiter pourrait préserver la population.

Un vin chaud pour se réchauffer, un moelleux  pour accompagner le foie gras ou le saumon… Les raisons de s’enivrer ne manquent pas en fin d’année. Mais que ce soit pour de grandes occasions ou au quotidien, nous buvons plus aujourd’hui que par le passé.

C’est peut-être dû à la taille des verres, suggère une étude parue dans l’édition de Noël du BMJ, qui rassemble des études décalées. Au Royaume-Uni, la dose d’alcool ingérée a doublé depuis les années 1980. Une progression pour le moins effrayante.

Mais une autre évolution a attiré l’attention des chercheurs de l’université de Cambridge (Royaume-Uni) qui signent ces travaux. En 300 ans, la taille moyenne du verre de vin a été multipliée par sept. La capacité de stockage est passée de 66 ml, en 1700, à près d’un demi-litre en 2017. Et le rythme s’est accéléré de manière notable depuis les années 1990.

La fin des verres XL ?

A l’origine de ce phénomène, la demande faite par les Etats-Unis de proposer des verres de plus grand volume. De fait, qui n’a pas en tête les ballons de vin rouge disproportionnés servis dans les séries télévisées ?

Les bars et restaurants auraient eux aussi profité de cette opportunité pour augmenter leurs ventes. Une étude menée en 2015l’a montré : plus les verres sont grands, plus les doses d’alcool ingérées sont élevées. Par rapport aux tailles standard, les formats « XL » sont associés à une vente d’alcool supérieure de 9 %.

Ce scénario est d’autant plus probable que, récemment, l’alcool est devenu financièrement plus abordable au pays de Sa Majesté. Pour baisser la consommation, il faudrait donc inciter les fabricants à réduire le format de leurs verres… et pourquoi pas des bouteilles ?

La France boit moins

La forme des chopes pourrait aussi aider à limiter la vitesse d’absorption de l’alcool. L’université de Bristol (Royaume-Uni) a, en effet, montré que les gobelets évasées ont tendance à se vider plus vite. En revanche, les verres droits tiennent plus longtemps.

Au-delà de leur aspect amusant, ces travaux abordent un sujet plus sérieux. Car la consommation d’alcool est le 7e facteur de mort prématurée dans le monde. Contrôler les volumes servis pourrait bien être une arme efficace. En France, où la taille des verres est standardisée, le volume ingéré par an et par habitant a reculé de deux litres depuis 2000.

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Délinquance observée dans son quartier ou son village : alcool et drogues pointés du doigt

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Le rapport annuel 2017 de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) vient de paraitre. Il fait le point chaque année, sur l’état de la criminalité en France en regroupant les premiers résultats de l’année en cours de l’enquête de victimation « Cadre de vie et sécurité » (CVS) et des analyses synthétiques de données issues de sources administratives et privées. Une partie de cette enquête est consacrée au sentiment d’insécurité, aux préoccupations sociétales et à l’observation de certains phénomènes de délinquance.

Dans ce contexte le phénomène le plus fréquemment observé est celui de la consommation exagérée d’alcool : plus d’une personne sur cinq de 14 ans et plus a déclaré avoir observé ce phénomène (21 %). Dans le détail, 8 % ont dit que cela arrivait « souvent » et 13 % « de temps en temps ».
La part de la population qui observe « souvent » ou « de temps en temps » des phénomènes de consommation ou de trafic de drogue est estimée à 17 %.
Enfin, un peu moins de 3 % des personnes ont dit avoir observé de la prostitution dans leur village ou leur quartier et 2 % ont confié avoir été indirectement témoins d’autres trafics (recel de voitures ou de deux-roues, de matériel électronique ou de tout autre trafic en dehors de celui de stupéfiants).

Par ailleurs, la fréquence d’observation est corrélée au lieu de vie. Ainsi, plus la zone d’habitation est densément peuplée plus ces phénomènes sont rapportés.

Cette enquête renforce le besoin d’une politique gouvernementale impulsée par la MILDECA visant à renforcer la réglementation et son application en matière de vente d’alcool et de lutte contre l’offre illicite de drogues, développer des actions de prévention pour la tranquillisation de l’espace public et mieux prendre en compte la vie nocturne festive.

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Quant le cannabis se vapote

Un « joint » électronique et légal

Publié  / Actualisé 

Si ses effets à long terme sur la santé sont encore inconnus, le cannabidiol s’est déjà propagé en France. Molécule dérivée du cannabis, elle est utilisée dans un e-liquide destiné au vapotage. Avec un taux de THC inférieur à 0,2 %, elle fait partie des variétés de la plante autorisée. Pour autant, l’agence nationale de sécurité du médicament s’inquiète autour de son achat et de sa commercialisation.

Prisées par un certain nombre d’adolescents et de jeunes adultes, la cigarette électronique pourrait aussi servir de… joint de cannabis. Et ce, grâce à un e-liquide à base de CBD, l’une des molécules extraite de la plante. Si l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) s’inquiète autour de l’achat et de la commercialisation de ce dérivé, ce n’est pas le même avis du Ministère de la Santé. Dans un article du Parisien publié fin novembre, le « joint électronique » est qualifié de « légal ». Les liquides du cannabidiol (CBD) pourraient ainsi bénéficier d’une dérogation à la législation. Pour autant, le ministère de la Santé proscrit quand même d’autres utilisations que celle destinée au vapotage. Tout revendeur doit également éviter d’en faire une publicité, « sous un jour favorable ».

Pour rappel, la culture, la détention et le transport de cannabis sont interdits en France. Sont autorisées uniquement les variétés dont le taux de THC (Tétrahydrocannbinol), est inférieur à 0,2 %. Comme pour le CBD.

Afin de se procurer du cannabidiol en e-liquide, il suffit de se rendre sur Internet. Plusieurs sites le commercialisent depuis 2014, mettant en avant les bienfaits engendrés sur le stress et le sommeil.  Selon l’enquête du Parisien, la molécule pourrait effectivement posséder des vertus relaxantes. Elle n’aurait en revanche pas de propriétés stupéfiantes. Cependant, aucune étude n’a pour le moment été menée sur les effets à long terme du produit. Flou juridique d’une part et flou sanitaire d’autre part. Et quant au risque d’addiction, c’est encore une autre histoire.

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Le Petit Béret : Le vin sans alcool à consommer sans modération

 

Le Petit Béret : Le vin sans alcool à consommer sans modération

e Petit Béret a une spécialité toute particulière : Les vins sans alcool.

Blanc, rouge, rosé ou encore pétillant, ces spiritueux se consomment sans modération.

Que ce soit pour des raisons culturelles, de santé ou encore pour des questions de goût, l’alcool n’est pas forcément bienvenu sur toutes les tablées. Alors, si pour ces fêtes de fin d’années vous souhaitez agrémenter vos soirées de quelques bouteilles qui permettront à vos invités ne boivent pas d’alcool ainsi qu’aux enfants de tout de même trinquer avec vous, Le Petit Béret pourrait être un bon compromis.

La grande spécialité de cette marque, c’est les vins sans alcool. Elle propose plusieurs références, des rouges, des blancs, des rosés, des pétillants, originaires du sud de la France et qui ont chacune leurs arômes propres.

Le Petit Béret : Le vin sans alcool à consommer sans modération

Pour parfaire l’expérience, Dominique Laporte, le meilleur sommelier de France, vous suggère pour chaque bouteille des accords culinaires.

Autre grand avantage, ces boissons sont 100% naturelles et très peu caloriques.Et comme sans alcool, la fête est plus folle, les vins pétillants du Petit Béret ont également de quoi ravir les papilles. Le Pétillant Rosé présente des arômes très gourmand de fruits rouges et de pain brioché tandis que Le Blanc des Blancs présente un caractère plutôt floral et boisé. Enfin, le Moscato d’Aqui présente en bouche une véritable explosion de saveurs fruitées et exotiques avec une petite touche d’amertume qui lui donnent tout son charme.

À consommer sans modération donc, dans tous les cas, il n’y aura jamais le verre de trop et encore moins de gueule de bois !

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La police canadienne agit contre l’alcool au volant

Quebec : La police de l’accueil a lancé un appel au public de la Rive-Sud pour les inciter à dénoncer les gens qui conduisent en état d’ébriété. 

Cliquez ici pour voir la vidéo ( 4’33 »)

Bordeaux Neurocampus : un médicament contre l’addiction au cannabis en 2024

L'addiction au cannabis touche 1 million de personnes en France / © MAXPPP
L’addiction au cannabis touche 1 million de personnes en France / ©

C’est un fléau pour 1 million de personnes en France qui souffre d’addiction au cannabis, 20 millions dans le monde. Des Bordelais ont trouvé le mécanisme pour soigner la dépendance. En 2018, les tests seront en phase clinique aux Etats-Unis. La gélule pourrait être disponible en 2024.

Dix ans pour mettre au point une gélule qui peut changer la vie de beaucoup d’addicts, une vie qui peut tourner au cauchemar.

C’est un travail d’équipe au long cours qui a ses racines à Bordeaux. Au cours de ses recherches sur les effets du canabis, l’équipe du Neurocentre Magendie a découvert que sa prise entraîne la production dans le cerveau d’une molécule appelée prégnénolone. Elle a pour effet naturel de défendre l’organisme contre les effets de cette drogue. Une solution pour soigner l’addiction au cannabis. Impossible de l’utiliser en tant que telle, elle ne s’y prête pas. Les chercheurs, fédérés autour de Pier-Vincenzo Piazza, directeur de recherche Inserm, ont donc trouver la parade :

À partir de cette découverte scientifique, nous avons créé la société Aelis Farma et nous sommes les premiers à avoir développé un dérivé stable de la prégnénolone. C’est aujourd’hui la seule solution pharmacologique pour contrer les effets du cannabis et son addiction.

C’est cette formule qui va être en tests cliniques en 2018  aux Etats-Unis.

Avoir eu la possibilité de trouver le mécanisme naturel qui protège contre le cannabis, avoir la possibilité de trouver la solution jusqu’à l’homme, c’est l’accomplissement de toute une carrière et du travail de toute l’équipe. Si le succès continue, un déploiement sur le marché est envisageable d’ici fin 2024. Ce serait une satisfaction immense pour toute l’équipe !

Le Docteur Piazza dans son laboratoire ( archives ) / © Theillet Laurent MAXPPP
Le Docteur Piazza dans son laboratoire ( archives ) / © Theillet Laurent MAXPPP
Une gélule qui pourrait être prescrite par le généraliste

Le Docteur Piazza souligne :

Prendre cette drogue, ce n’est pas une maladie. Mais quand la personne veut arrêter et qu’elle a du mal… Mieux vaut intervenir dès les premiers signes d’addiction. A-priori une gélule par jour sur une durée à déterminer.
Le cannabis diminue les capacités de mémorisation et d’apprentissage. Une consommation soutenue peut induire un symptôme démotivationnel profond qui rend la capacité de s’engager et de produire un effort très difficile. Entre 16 et 30 ans, on note 5 fois plus de chômage et 10 fois moins de chance d’avoir un diplôme universitaire chez les sujets qui en consomment tous les jours .

Pourquoi une recherche fondamentale à Bordeaux puis la suite aux USA ?

Le Docteur Piazza souligne le rôle et le soutien majeur de la France durant toutes ces années.

La France a supporté le projet à fond, notamment via l’Inserm.

La raison, c’est que les Américains ont une politique agressive de financement de la recherche pour la toxicomanie. Les USA  ont apporté 3 millions d’euros. C’est leur politique de « joint venture » pour aider les sociétés comme nous, pour aider le développement de nouvelles thérapies. Au niveau européen, il n’y a pas de programme spécifique sur la toxicomanie.

Le cannabis : un enjeu de santé majeur

C’est la 1ère drogue consommée en France.  11 % des adultes de 18 à 64 ans sont des consommateurs de cannabis, soit 4,6 millions de personnes *. Une proportion encore plus inquiétante chez les jeunes : plus d’1 sur 4 déclare en avoir consommé au cours du dernier mois.

D’après une enquête ESPAD de 2015, les jeunes français âgés de 16 ans consomment plus souvent que les autres européens du même âge (1ère position sur 35 pays).
La teneur moyenne en THC dans les produits augmente, celui de la résine a triplé en 10 ans.Selon le Cannabis Abuse Screening Test développé par l’OFDT, 21% des usagers actuels présentent un risque élevé d’usage problématique ou de dépendance.* source Observatoire français des drogues et toxicomanies

Société. Pourquoi ils font la fête sans alcool

De plus en plus d’événements festifs proposent un bar sans alcool. Minoritaires, ils révèlent un désir d’être davantage dans le contrôle de soi.

Au bar du festival « L’Arbre qui marche », fin août à Saint-Martin-du-Bois (49), on pouvait siroter du thé aux épices, des jus ou des cocktails de fruits. Le festival s’affiche sans alcool.

« Les festivaliers apprécient: il y a une ambiance sereine, davantage de familles, de communication et de confiance entre les gens », assure Simon Goudeau, membre coordinateur de l’événement. Auparavant, la trop grande consommation de bière, y compris par les artistes invités, « alourdissait l’ambiance », poursuit-il. Les organisateurs ne sont pas anti-alcool : « on montre juste qu’on n’a pas besoin d’alcool comme lien social ».

En général, la fête s’associe à la modification d’un état de conscience, en s’aidant ou pas de produit. « En France, l’alcool reste très associé à la fête, d’autant plus qu’il a été par ailleurs restreint dans la vie quotidienne: au travail ou pour les conducteurs », rappelle Ludovic Gaussot, enseignant chercheur sur le sujet, à Poitiers. Rester sobre en soirée sans raison médicale ou religieuse reste rare. « C’est encore mal vu, ajoute le sociologue. Car trinquer à l’alcool scelle une certaine forme de prise de risque en commun. »

Contrôle de soi

Pourtant, L’Arbre qui marche n’est pas le seul à opter pour le sans alcool. À Stockholm, plusieurs clubs sobres ont ouvert, pour proposer une alternative au « binge drinking ». À Paris sont organisées des raves sans alcool, comme les « Daybreaker ». Leurs organisateurs revendiquent : « On n’a pas besoin de faire semblant d’être quelqu’un d’autre. En dansant sans alcool, on développe des bonnes hormones pour notre cerveau. »

Pour Ludovic Gaussot, cette idée de fête « bonne pour la santé », qui peut sembler paradoxale, se développe : « La santé est devenue la norme. Les excès ont moins bonne presse, car la société encourage le contrôle de soi et la clairvoyance. Nous sommes censés gérer nos vies, comme un capital qu’il faut faire fructifier. »

Après la première édition de « Good Morning Rennes », fête matinale sans alcool inspirée des fiestas « Morning Gloryville » londoniennes, la présidente de l’association, Anne-Claire Loaec, a reçu ce message d’une participante : « Merci, j’avais oublié que je pouvais m’amuser sans alcool ». «Sans alcool, les gens s’amusent de manière plus enfantine, en se souciant moins de séduction ou d’apparence, remarque-t-elle. C’est aussi une question de rapport au temps. Les gens veulent se dérider, mais ils n’ont plus le temps d’avoir la gueule de bois. Leur planning du lendemain est trop chargé. »

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Assemblée Générale du CNPERT

Chers Amis membre du CNPERT

L’ASSEMBLEE GENERALE du C.N.P.E.R.T.
se tiendra le lundi 11 décembre 2017, de 15h à 18h30
au siège parisien de l’Association des familles de France
Place Saint Georges – IXème Arrondt
Station de métro Saint Georges – ligne 12

Ordre du jour:

Election d’un nouveau bureau
Analyse des actions menées
Bilan financier
La Lettre du CNPERT
Le blog
Réflexion sur les actions à poursuivre ou à entreprendre

Présentation de sujets d’actualité par le Pr. J.-P. Goullé

Que les personnes candidates à nous

rejoindre se manifestent par email auprès des professeurs

Jean Costentin, 

Jean-Pierre Goullé,

Jean-Paul Tillement 

Général Claude Giudicelli,

qui parraineront leur candidature en vue de leur cooptation

Que celles et ceux qui ne pourront venir à cette A.G. aient l’amabilité d’envoyer leur pouvoir à l’un de nous quatre.
A bientôt, nous l’espérons , le plaisir de vous rencontrer

Jean Costentin Président du CNPERT

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