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juin 2020

Ce pays où un verre d’alcool vous coûtera vraiment très cher

Les écarts de prix d’un pays à l’autre son impressionnants, le coût de l’alcool étant généralement lié au coût global de la vie dans le pays.

Les citoyens du monde ne sont pas tous égaux face à l’alcool. Une vaste étude de la Banque mondiale révèle en effet les pays les plus chers au monde pour boire un verre. L’institution a recueilli les données de 167 États pour établir ce classement, détaille le site Quartz. Et c’est à Bahreïn que le prix de l’alcool est le plus élevé : 345% plus cher que la moyenne mondiale. Une envolée qui s’explique par la politique très stricte du pays dans ce domaine.

En effet la commercialisation d’alcool n’y est autorisée que dans les hôtels, les centres de villégiature et quelques magasins sélectionnés. Elle est interdite pour les musulmans. Le pays impose également des taxes de 125% sur les importations d’alcool. Bahreïn devance ainsi les îles Turques-et-Caïques (l’alcool y est 176% que la moyenne mondiale), l’Iran (+175%), l’Islande (+150%), Singapour (+143%) et les Bermudes (+142%). Deux facteurs expliquent cette flambée des prix : une régulation stricte de la vente d’alcool ou le niveau de vie dans le pays.

La France à la 132e place

En effet, détaille la Banque mondiale, les prix de vente d’alcool permettent aux chercheurs de comprendre le coût de la vie dans les différents pays et de comparer le niveau de ressources de chacun. « Il est généralement plus coûteux de fabriquer et de vendre de la bière et des alcools forts dans des endroits où les coûts de main-d’œuvre sont élevés », explique ainsi la directrice de l’étude Nada Hamadeh. À quelques exceptions près comme Bahreïn ou l’Iran où les politiques sociales et les taxes locales sont un facteur très important dans la flambée des prix de l’alcool.

Dans le Top 10 où boire un verre coûte particulièrement cher, on trouve également les Îles Caïman (+130%), la Norvège (+129%) et les Bahamas (+127%). La France, elle, occupe la 132e place du classement, avec des tarifs inférieurs de 16% à la moyenne mondiale. Chez nos voisin européens, l’Allemagne est encore moins chère (-23%) tout comme l’Espagne (-27%) et l’Italie (-13%). Au Royaume-Uni les prix sont similaires à l’Hexagone, inférieurs de 16% à la moyenne mondiale.

Pour s’acheter une bouteille d’alcool à petit prix, ce sont les pays d’Europe de l’est et d’Asie centrale qui sont les moins chers.

L’Azerbaïdjan est ainsi le pays où l’alcool coûte le moins cher (-58% par rapport à la moyenne mondiale) derrière le Kirghizstan (-57%), l’Ukraine (-54%), le Kazakhstan (-54%) et le Bélarus (-50%).

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Drogue : Reprise de l’activité après le Covid 19

Cliquez sur la photo pour voir le sujet qui commence à 23’45 »

Source : JT TF1 du 24 Juin 2020

https://www.tf1.fr/tf1/jt-20h/videos/le-20-heures-du-24-juin-2020-56853424.html

Même la consommation modérée d’alcool est dangereuse pour votre santé

38 % des décès liés à l’alcool ont été enregistrés chez des buveurs modérés ou d’anciens buveurs

 

Alcool : est-ce que boire « juste un peu » est bon pour votre santé ?

La consommation d’alcool peut-elle être sans risque pour la santé lorsqu’elle reste raisonnable ? Les résultats d’une étude canadienne montrent que même boire dans le cadre des recommandations santé augmente le risque de décès.
Illustration Adobestock
Avec modération. Vous connaissez bien sûr ce slogan relatif à la consommation d’alcool. Il indique que si l’on boit de façon raisonnable, en respectant les recommandations des autorités sanitaires, notre santé est protégée des méfaits de la boisson.

Or selon un travail mené par des chercheurs de Colombie britannique, il n’en serait rien.

Au Canada, il est conseillé de ne pas dépasser 10 verres par semaine pour les femmes et 15 pour les hommes.

En France, il ne faut « pas consommer plus de 10 verres standard par semaine et pas plus de 2 verres standard par jour », indique Santé publique France.

Des morts liés à une consommation modérée

Grâce à un modèle d’analyse statistique mis au point dans ce but, les chercheurs ont analysé les données concernant les décès liés à l’alcool en Colombie britannique sur l’année 2014.

Résultats, ils ont constaté qu’ « une proportion significative des décès liés à l’alcool survenait chez des individus ayant respecté les recommandations ».

Ainsi, « par exemple, plus de 50 % des morts par cancer résultaient d’une consommation modérée ».

De plus, « 38 % des décès attribuables à l’alcool se produisaient chez des personnes buvant largement moins que la limite recommandée ».

Petite nuance : « une consommation dans le cadre des recommandations offrirait quand même une protection contre le décès par AVC, infarctus du myocarde et diabète chez les femmes », notent les auteurs.

Une protection dont ne bénéficieraient pas les hommes.

Selon les chercheurs, « certaines recommandations nationales proposeraient une limite haute de consommation trop élevée ».

De manière générale, le meilleur conseil à suivre en matière d’alcool serait, selon eux, « moins c’est mieux ».

Alcoo­lique, un singe attaque 250 personnes et fait un mort en Inde

par  Pablo Oger  | 22 juin 2020

Tiraillé par le manque, un singe alcoo­lique a attaqué 250 personnes et fait un mort en Inde après avoir épuisé son stock d’al­cool, rela­tait le Daily Mail le 18 juin.

L’an­cien proprié­taire de Kalua le singe était un occul­tiste qui lui donnait régu­liè­re­ment de l’al­cool et de la viande de singe à manger. Lorsque son proprié­taire est mort (on devrait dire tortion­naire), Kalua s’est retrouvé sans rien à boire et avec un appé­tit parti­cu­lier pour la violence. L’in­ci­dent s’est produit en 2017 dans la ville indienne de Mirza­pur. En manque d’al­cool, le singe Kalua s’est jeté sur les passants, bles­sant 250 personnes dont une est décé­dée. Une fois aler­tées du déchaî­ne­ment de violence de Kalua, les auto­ri­tés se sont préci­pi­tées pour le maîtri­ser.

Fina­le­ment capturé, l’ani­mal âgé de six ans a laissé dans son sillage d’hor­ribles bles­sures, dont des dizaines de jeunes enfants au visage défi­guré par ses crocs. De nombreuses personnes ont dû subir une opéra­tion de chirur­gie plas­tique après l’at­taque, et une personne est morte de ses bles­sures.

Selon des experts, Kalua aurait ciblé ses victimes en fonction de leur taille et de leur apparence, préfé­rant s’at­taquer aux femmes et aux jeunes filles. Il a été emmené au parc zoolo­gique de Kanpur dans l’es­poir d’être réha­bi­lité, mais les auto­ri­tés ont main­te­nant offi­ciel­le­ment jugé Kalua trop dange­reux pour se socia­li­ser avec son espèce et l’ont relé­gué à une vie derrière les barreaux.

« Nous l’avons gardé en isole­ment pendant quelques mois, puis nous l’avons mis dans une cage sépa­rée », a déclaré Mohd Nasir, méde­cin du zoo de Kanpur. « Son compor­te­ment n’a pas changé et il reste aussi agres­sif qu’il l’était. Cela fait trois ans qu’il a été amené ici, mais il a été décidé qu’il reste­rait en capti­vité toute sa vie ».

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Vers l’assouplissement de la loi Évin et le retour de l’alcool dans les stades ?

Assouplir la loi Évin ? Un crédit d’impôt spécial « sponsoring » pour compenser la perte des recettes des clubs ? Des aides pour les athlètes engagés dans la course aux Jeux olympiques de Tokyo reportés à 2021 ? Dix propositions viennent d’être présentées devant la commission de la Culture, de l’Éducation et de la Communication du Sénat.

Constitué depuis mars en réponse à la crise sanitaire du Covid-19, le groupe de travail à l’origine des propositions, composé de sept sénateurs et présidé par Jean-Jacques Lozach (Creuse, SOCR) a notamment réfléchi à des mesures pour relancer l’économie du secteur sportif. Plusieurs acteurs du monde du sport français ont été auditionnés par visioconférence, comme Denis Masseglia, le président du comité national olympique et sportif français, ou Jean-Michel Aulas, président de l’Olympique Lyonnais.

Pour Catherine Morin-Desailly, présidente de la commission sénatoriale, il est essentiel que le ministère des Sports s’inspire à présent des propositions sénatoriales pour relancer le secteur du sport et garantir son avenir.

Loi Évin : une expérimentation sur deux ans

Pour sortir de la crise, les sénateurs proposent notamment un assouplissement de la loi Évin dans les enceintes sportives, afin de favoriser le retour des supporters dans les stades, quand ceux-ci seront de nouveau autorisés à accueillir du public.

La loi, adoptée en 1990, vise à lutter contre le tabagisme et l’alcoolisme en France. Aujourd’hui, les clubs sont autorisés à vendre des boissons alcoolisées à dix reprises au cours de la saison.

Le groupe de travail propose d’autoriser la consommation dans les stades de certains alcools, toute la saison. L’expérimentation, dont le bilan serait évalué en 2022, porterait sur les boissons ne dépassant pas les 18° d’alcool. Certaines publicités pourraient aussi être autorisées, pendant deux ans.

Pour parvenir à cette conclusion, les sénateurs se sont notamment appuyés sur un rapport de 2017, réalisé par la commission de la Culture. Il indiquait qu’une modification de la loi Évin autorisant la vente d’alcool dans les stades ainsi que la publicité pour certaines boissons alcoolisées permettrait de rapporter entre 30 et 50 M€ aux clubs professionnels.

La synthèse de travail explique aussi que si le débat sur la consommation d’alcool est justifié et légitime concernant les enjeux de santé publique, les « circonstances ont changé du tout au tout depuis une vingtaine d’années. La violence dans les stades a été largement jugulée ».

Aider à la visibilité des annonceurs

L’arrêt des compétitions en France a, dans le même temps, supprimer la visibilité des partenaires des clubs sportifs. Pour aider les clubs, privés de recettes, les sénateurs proposent donc la création d’un crédit d’impôt pour les annonceurs, pour les inciter à maintenir leur implication dans le sport. Cela permettrait d’encourager l’achat d’espaces publicitaires dans les stades et sur les abords des compétitions.

Soutenir financièrement les athlètes olympiques

Les sénateurs le rappellent : en 2016, la moitié de la délégation française envoyée aux Jeux Olympiques, à Rio, vivait en dessous du seuil de pauvreté, soit moins de 1 026 € par mois. La crise sanitaire, le manque de compétitions et le report des JO de Tokyo à 2021 pourraient encore un peu plus dégrader la situation financière des athlètes.

Le groupe de travail propose ainsi « d’attribuer des bourses mensuelles pouvant aller jusqu’à 3 000 € […] aux athlètes qui en feraient la demande ».

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8 idées reçues sur l’alcool dont il est temps de se défaire !

2/8 – Nous sommes tous égaux face à l’alcool : faux !
Les hommes supportent mieux l’alcool que les femmes. Encore une injustice liée au genre ? En tout cas, pour la même dose d’alcool ingérée, le taux d’alcool dans le sang sera moins élevé chez un homme que chez une femme. En cause ? La corpulence globalement moins élevée des femmes. Le corps des femmes comporte en général moins d’eau et plus de graisse que celui des hommes, donc l’alcool a moins de liquide pour se répartir. Le foie des femmes met plus de temps à éliminer l’alcool.

3/8 – Une cuite de temps en temps, ce n’est pas grave : faux.
Effectivement, ce n’est pas avec une cuite occasionnelle que vous allez automatiquement devenir dépendant. Mais… une consommation d’alcool excessive désinhibe, et met, de fait en danger. Par ailleurs, vous risquez d’être malade, de vous blesser accidentellement, de ne pas voir vos limites et de faire un coma éthylique… Sans parler des simples maux de tête du lendemain.

4/8 – L’alcool ne fait pas grossir… Faux !
L’alcool est très calorique ! Quel qu’il soit. L’alcool pur correspond à 7 calories par grammes. Rien que dans un verre de whisky (3cl), il y a 70 calories.  En plus, l’alcool favorise le stockage des graisses. Le ventre à bière, ce n’est pas un mythe !

5/8 – En petite quantité, l’alcool n’est pas mauvais pour la santé : faux.
Dès le premier verre, l’alcool est néfaste. Par définition, compte tenu de ce qu’il demande comme effort au corps pour le digérer, il ne peut pas être « bon ».  Des études ont prouvé que dès le premier verre consommé, les risques de développer un cancer augmentent.  Le maximum recommandé est de 2 verres par jour, pas tous les jours. Plus on consomme, et plus les risques augmentent.

6/8 – Le vin est meilleur pour la santé que le whisky : faux.
On a parfois l’impression que parce que la boisson est moins forte au goût, moins concentrée en degrés d’alcool, elle est moins « mauvaise ». Mais c’est faux. Toutes les boissons contiennent de l’éthanol (1), et c’est dangereux dans tous les cas. D’autre part, un verre de vin (10cl), équivaut à un verre de pastis (2,5cl), à un verre de whisky (2,5cl), à un demi de bière (25cl)…

7/8 – J’ai soif, je bois de la bière, ça désaltère : non.
C’est une impression uniquement. La bière ne désaltère pas. Elle contient de l’éthanol (1), une molécule qui déshydrate en favorisant l’élimination de l’eau dans le corps. Il n’y a que l’eau qui déshydrate…

8/8 – Faire du sport aide à éliminer l’alcool plus vite : toujours pas vrai !
Le seul remède pour éliminer l’alcool, c’est la patience. Il n’existe aucun moyen de dessoûler à vitesse grand V. Pour éliminer un verre d’alcool, il faut attendre 1h30.

Des alcools « meilleurs » que d’autres, un verre de whisky qui « réchauffe »… Les idées reçues sur l’alcool sont nombreuses. Et rarement vraies !

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(1) L’éthanol, ou alcool éthylique (ou plus simplement alcool), est un alcool de formule semi-développée CH3-CH2-OH. C’est un liquide incolore, volatilinflammable et miscible à l’eau en toutes proportions. C’est un psychotrope, et l’une des plus anciennes drogues récréatives, sous la forme de boisson alcoolisée

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L’amende pour consommation de drogues entre en vigueur dans plusieurs villes

Les consommateurs de stupéfiants à ReimsRennesCréteil et Boissy-Saint-Léger (Val-de-Marne) sont punis depuis mardi d’une amende forfaitaire de 200 €, une mesure voulue par le gouvernement pour en finir avec la « dépénalisation de fait ».

Cette nouvelle procédure, qui s’applique à toutes les drogues mais vise d’abord les usagers de cannabis, doit être étendue à Lille et Marseille à la mi-juillet avant de concerner progressivement toute la France métropolitaine.

L’amende, si elle est réglée sous quinze jours, est minorée à 150 €. Au-delà de 45 jours, le contrevenant devra s’acquitter d’une majoration fixée à 450 €.

Une promesse de campagne d’Emmanuel Macron

Promesse de campagne d’Emmanuel Macron, l’amende forfaitaire – à laquelle seules les personnes majeures seront soumises – a été votée par le Parlement en novembre 2018 et s’ajoute à l’arsenal législatif existant.

> Lire aussi : POINT DE VUE. Drogue : l’amende forfaitaire, un moyen efficace pour réduire la consommation ?

Présentée comme l’un des outils du plan antidrogue lancé par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner en septembre 2019, elle entend plus spécifiquement en finir avec la « dépénalisation de fait » du cannabis et apporter « une réponse pénale plus rapide et plus ferme et plus systématique ».

En effet, une loi de 1970 prévoit théoriquement de punir l’usage illicite de stupéfiants jusqu’à un an de prison et 3 750 € d’amende, mais l’emprisonnement pour usage reste exceptionnel, les magistrats privilégiant des « mesures alternatives aux poursuites » comme des rappels à la loi.

La France, premier consommateur européen de cannabis

« L’amende forfaitaire […] va permettre aux forces de l’ordre et aux magistrats de se concentrer sur la lutte contre le trafic, plutôt que de consacrer leur temps à des procédures chronophages liées à la répression de la consommation de stupéfiants », s’est félicité le député Éric Poulliat (LREM), co-rapporteur de la mission d’information qui avait proposé la mesure en janvier 2018.

Premier consommateur européen de cannabis, la France comptait cinq millions de fumeurs de cette substance en 2017, dont 700 000 usagers quotidiens, un nombre qui augmente régulièrement depuis des années.

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Une campagne de sensibilisation par rapport à la consommation d’alcool

Une campagne de sensibilisation par rapport à la consommation d'alcool
La population active est la plus concernée par la surconsommation quotidienne.georgerudy – stock.adobe.com

Une campagne va être lancée pour sensibiliser le grand public par rapport à sa consommation d’alcool. À la manœuvre: un groupement de partenaires belges et français regroupés sous la dénomination Satraq (pour Sensibilisation et action transfrontalière pour une réduction de la consommation de l’alcool au quotidien).

Une réflexion qui est en cours depuis 2019, et qui prend tout son sens à l’heure du déconfinement. Confinés, certains et certaines ont trouvé dans l’alcool une réponse à l’anxiété du moment.

Projet transfrontalier, Satraq a pour but de réduire les risques liés à la consommation d’alcool plus précisément dans les provinces de Luxembourg, de Namur et de Hainaut (côté belge) et dans le département des Ardennes (côté français).

Des régions où la consommation d’alcool, courante, relève pour ainsi dire de la culture. «Témoin du savoir-faire de nos producteurs, de choix gustatifs, elle est souvent associée à des moments de détente, festifs ou de convivialité», relèvent les partenaires du projet.

«Satraq veut épauler dans le changement celles et ceux pour qui l’alcool prend de plus en plus de place au quotidien, explique Marie-Madeleine Leurquin, du centre d’éducation du patient. Et ce avec le plus grand respect. »

La béquille qui permet de tenir

Rappelons que le Conseil supérieur de la santé recommande de ne pas boire plus de dix unités d’alcool par semaine.

Une unité, c’est 10 grammes d’alcool, soit un verre de vin de 10 cl ou une canette de bière de 25 cl. Vous aurez compris qu’une trappiste ou un verre de vin servi à la maison est bien supérieur à une unité d’alcool.

«On constate au sein de la population active un phénomène de surconsommation d’alcool, bien différent du binge-drinking chez les jeunes. Chez les travailleurs, l’alcool prend parfois une place dans le quotidien. C’est la béquille qui permet de tenir, avance Marie-Madeleine Leurquin. Nous espérons toucher les personnes, juste avant une situation de dépendance

45-54 ans et consommation quotidienne

D’après les données chiffrées récoltées en 2018 en Belgique, basées sur les déclarations volontaires de la population (données disponibles sur Sciensano), on constate que plus l’âge avance, plus la surconsommation quotidienne est présente.

En province de Luxembourg, ce serait la tranche d’âge 45-54 ans qui serait la plus concernée.

Si la campagne va toucher le grand public, les entreprises seront donc également visées, par des actions de sensibilisation, des supports d’information.

Les professionnels de la santé et du social seront également touchés. Des formations leur seront proposées afin qu’ils puissent aborder le sujet de la consommation d’alcool avec leurs patients et les orienter au besoin vers les structures adéquates.

Satraq va aussi s’adresser aux communes et aux politiques, leur communiquant les données récoltées, et des recommandations d’actions pour améliorer la situation.

Un projet de 900 000€

Ce vaste projet s’étendra jusqu’en 2022. Il est chiffré à environ 900 000€, dont la moitié est financée par l’Europe.

En Wallonie, derrière cette campagne, on retrouve le Centre d’éducation du patient, les mutualités chrétiennes et la Clairière à Bertrix.

Rappelons qu’en province de Luxembourg, il existe un réseau de partenaires d’aides et de soins en assuétudes (Coordination Luxembourg Assuétudes).

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