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Cannabis : il tue

Trappes : Après la mort d’une fillette, l’automobiliste positive au cannabis a été mise en examen

Publié le 25/05/23

Trappes : Après la mort d’une fillette, l’automobiliste positive au cannabis a été mise en examen

Une automobiliste soupçonnée d’avoir percuté mardi à Trappes (Yvelines) une fillette de six ans, morte peu après le choc, a été mise en examen jeudi pour homicide involontaire par conducteur ayant fait usage de stupéfiants, a indiqué le parquet de Versailles sollicité par l’AFP. La jeune femme de 21 ans a été placée sous contrôle judiciaire, selon la même source.

La conductrice avait été contrôlée positive au cannabis par un premier test. Un second, dont les résultats ne sont pas encore connus, doit déterminer plus précisément à quel moment elle avait ingéré cette substance.

« Ce n’est pas une dingue du volant »

« La conductrice a dit avoir consommé du cannabis quelques jours avant », a expliqué à l’AFP une source proche du dossier. « Elle est très choquée, elle ne se soustrait pas à sa responsabilité. Ce n’est pas une dingue du volant, elle prend la mesure de ce qui s’est passé », a ajouté cette source.

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Encore une gamine tuée… non, assassinée par une personne conduisant droguée ! La loi doit être modifiée !

25 mai 2023 Jacques Martinez Les dégénérés 17

Encore une personne qui, bien que droguée, s’est volontairement assise à un volant et a, non pas tué, mais assassiné une gamine de 6 ans !

Je le répète : cette irresponsable n’a pas tué involontairement mais bien «assassiné » la petite Ramah ! Car un assassin est « une personne qui commet un meurtre avec préméditation ou guet-apens » (Petit Robert) or, cette jeune femme, en décidant de se droguer l’a fait volontairement !

Elle a donc réalisé le « dessein réfléchi d’accomplir un délit ou un crime » -c’est cela « la préméditation » !- tout en exerçant une « machination » à savoir boire de l’alcool en étant parfaitement consciente que, de ce fait, elle risquait fort « de nuire gravement à quelqu’un » -et là, c’est bien « un guet-apens » !-

Et cette irresponsable -qui ne s’est même pas arrêtée pour éventuellement porter secours à sa victime !- a, au contraire, eut la lâcheté de prendre la fuite !
En outre, en conduisant droguée, elle aurait pu tuer d’autres gamins puisque la malheureuse victime jouait à ce moment-là en compagnie de sa soeur et deux copains du même âge !

Ravagé, le père de Ramah a exprimé son indignation, sa colère à RTL : « Que justice soit faite, qu’elle paye le prix cher… » Mais, malheureusement, avec les lois qui considèrent cet -je le maintiens- assassinat comme un banal « homicide involontaire », avec des parlementaires qui ne sont pas prêts à modifier cette loi et avec des magistrats qui, eux, sont, pour certains, pour une application modérée des peines encourues par les responsables, la bien évidemment « présumée innocente » va s’en sortir avec une peine assortie d’un confortable sursis !

Comme pour l’homme reconnu responsable de la mort du père de Julien Courbet, père violemment heurté par la voiture de cet automobiliste complètement ivre ! Mardi, après le drame de la petite Ramah, Julien Courbet a tenu à rappeler sur RTL ce drame familial remontant à plusieurs décennies : « Là où l’histoire devient terrible – et l’alcool joue un rôle – c’est que le conducteur se sauve et le laisse là. Dans quel état ? Est-ce qu’on aurait pu le sauver ou pas ? Je dois vivre avec ça », a-t-il confié. Et le meurtrier -pour moi, l’assassin- de son père n’a jamais passé ne serait-ce qu’un seul jour, pas même une heure sous les verrous !

Comment, en France, en sommes-nous arrivés à un tel degré de déliquescence ? Cela remonte surtout à 1968, quand le slogan aberrant alors à la mode était « Il est interdit d’interdire ! » Personnellement, je n’avais que 22 ans (1) mais, grâce… oui, grâce à mes opinions d’une autre époque, je n’ai jamais adhéré à cette « libération étudiante » ! Et, depuis, je n’ai toujours pas humé ne serait-ce qu’un joint ! Alors me piquer !

Trop peu pour moi ! Mais, depuis, la mode de la drogue s’est répandue. Et comme il est « si in » dans certains milieux d’en consommer, ceux qui, comme moi, s’y opposent, sommes classés par ces si fiers drogués à droite de la droite. Dans ce cas, je les emm… euh, pardon, je les en… remercie ! Sincèrement et chaleureusement !

Mais à cause d’eux, le trafic de la drogue prolifère ! Alors qu’il faudrait le combattre quitte à contraindre les drogués, ces malades de la drogue, à se soigner même s’il conviendrait, pour atteindre ce but, de pousser nos parlementaires à modifier la loi en ce sens. En effet, personne ne peut forcer quelqu’un à se soigner même si sa maladie -son addiction à la drogue- met la vie d’autres personnes en danger. Pourtant, la loi ne contraint-elle pas les autorités à placer -et donc à soigner- un malade psychiatrique dangereux pour les personnes de sa famille ou qu’il pourrait croiser dans une rue ?

Il faut donc combattre le trafic de drogue sur une grande échelle ! Comment ? Entre autres, en éradiquant ce trafic dès l’éclosion du moindre point de vente afin de couper les drogués de leur source et, ainsi, les contraindre à choisir de se soigner plutôt que poursuivre leur addiction.

D’où mon point-de-vue : l’État ne pourrait-il pas, comme lorsqu’il y a une prise d’otages, faire appel à une unité spéciale qui détruirait, dès sa naissance ou peu après, tout point de vente où qu’il soit ! Dans les zones urbaines, avec des policiers en une formation genre RAID, et, dans les zones rurales, avec des gendarmes et une unité, soeur du GIGN…

(1) J’étais alors étudiant dans une école de journalisme tout en étant en stage à RTL…(la rédaction du matin était alors dirigée par un certain… Philippe Gildas secondé par un futur cofondateur et président de Canal+ puis futur président du Festival de Cannes… Pierre Lescure) et aux Langues O’ (Ecole Nationale des Langues Orientales Vivantes devenue Institut) en… chinois, non, par « goût du maoïsme » bien au contraire mais parce que je pensais que la Chine allait prendre de plus en plus de place dans le monde et que, pour combattre un régime, il valait mieux en connaître les us et coutumes)

Jacques Martinez journaliste retraité RTL (1967-2001, chef d’édition), l’AFP, l’Aurore, le Figaro, le Parisien…

Sécurité routière : quels sont les effets de la drogue au volant ?

Une petite fille de 6 ans est morte à Trappes après avoir été percutée par une conductrice, qui avait consommé du cannabis. Sur RTL, l’addictologue Patrick Daimé alerte sur les dangers de l’usage de stupéfiants au volant.

Un fumeur de cannabis (illustration)

Un fumeur de cannabis (illustration) Crédit : Martin BERNETTI / AFP

 DROGUES – Le docteur Patrick Daimé est l’invité de RTL Midi

À Trappes (Yvelines), la petite Ramah, 6 ans, est décédée ce mardi 23 mai après avoir été percutée par une voiture. La conductrice du véhicule, qui n’aurait pas vu la jeune fille, a été testée positif aux stupéfiants. Cette automobiliste avait consommé du cannabis avant de prendre le volant. « Je ne sais pas qui a donné le permis à cette demoiselle. Que justice soit faite, qu’elle paye le prix cher« , a réclamé le père de la fillette. 

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Au micro de RTL, le docteur Patrick Daimé, addictologue et vice-président d’Addiction France, revient sur les dangers du cannabis au volant. « Le cannabis peut altérer les performances de conduite par une espèce d’euphorie, de détente, voire un petit peu plus d’apathie », affirme Patrick Daimé. Pour ce dernier, la consommation de cette drogue entraîne aussi une baisse de la réactivité et des réflexes. Pour le conducteur, « il y a aussi une difficulté à tenir la ligne droite », pointe le médecin généraliste. 

Le mélange dangereux du cannabis et de l’alcool

Lorsqu’un automobiliste fume du cannabis, « le risque d’avoir un accident mortel est multiplié par deux« , fait remarquer l’addictologue. Selon Patrick Daimé, un fumeur peut être déclaré positif par un test près de 24h après avoir consommé un ou plusieurs joints.

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Sans commentaire ….HOMMAGE aux 3 victimes

Ploufragan : le conducteur à l’origine de l’accident mortel avait consommé cannabis, cocaïne et alcool

Publié le 28 avril 2023

Le dimanche 16 avril, sur la RD45, à Ploufragan, un terrible accident avait fait deux morts et sept blessés dont trois en urgence absolue.
Le dimanche 16 avril, sur la RD45, à Ploufragan, un terrible accident avait fait deux morts et sept blessés dont trois en urgence absolue. (Le Télégramme/Gwénaëlle Le Ny)

Dans l’accident mortel de Ploufragan survenu le 16 avril dernier, les résultats des analyses toxicologiques sont tombés le vendredi 28 avril. Il s’avère que le conducteur ayant causé le drame était positif au cannabis, à la cocaïne et à l’alcool.

Ce vendredi 28 avril, Nicolas Heitz, procureur de la République de Saint-Brieuc, a communiqué sur l’avancée de l’enquête concernant le dramatique accident survenu le dimanche 16 avril, rue du Pont Noir, à Ploufragan. Cet accident où trois voitures étaient impliquées, ainsi qu’un groupe de cyclistes, avait fait deux morts et sept blessés dont trois en urgence absolue.

Les trois passagers également positifs aux stupéfiants

« Des prélèvements ont été réalisés sur l’ensemble des personnes impliquées aux fins de recherche d’alcool et d’éventuels toxiques », a indiqué le procureur. « Il en ressort que le conducteur de la Peugeot 508, ayant causé l’accident, était positif au cannabis, à la cocaïne et à l’alcool.

Ses trois passagers étaient également positifs aux stupéfiants ». S’agissant des deux autres conducteurs, ceux-ci étaient négatifs à l’alcool et aux stupéfiants. Une expertise des véhicules a également été requise.

« Le véhicule circulait à une vitesse excessive »

Les déclarations des différents témoins ont, par ailleurs, permis de confirmer que « le véhicule Peugeot 508 circulait à une vitesse excessive ». Le conducteur n’était en outre pas titulaire du permis de conduire. Ce véhicule Peugeot 508 lui avait d’ailleurs été prêté par un des passagers blessé dans l’accident.

Il n’a pas encore pu être entendu par les enquêteurs pour déterminer son éventuelle responsabilité pénale. « Les investigations se poursuivent aux fins de déterminer le déroulé exact de ce terrible accident », conclut Nicolas Heitz.

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Sécurité routière : le fléau de la drogue au volant

Sur la route, un accident mortel sur trois en France est aujourd’hui causé par la consommation de stupéfiants. En 2022, plus de 700 personnes auraient perdu la vie à la suite d’accident impliquant la prise de cocaïne ou de cannabis.

Il y a quatre ans, un homme, qui témoigne aujourd’hui pour France Télévisions, se fait prendre au volant de sa voiture sous l’emprise du cannabis. « J’avais l’impression que ça ne me faisait rien. Que ça ne m’empêchait pas d’être vigilant« , dit-il.

En 2022, il récidive. À 35 ans, le père de famille risque aujourd’hui deux ans de prison, une annulation automatique du permis et la confiscation de son véhicule. « Aujourd’hui, je me rends compte que ça a un impact réel« , confie-t-il. 

Une personne contrôlée sur cinq positive aux stupéfiants en 2020

En 2020, sur 450 000 contrôles ciblés, un sur cinq était positif aux stupéfiants, en majorité des hommes jeunes. Cette conduite à risque est de plus en plus répandue, malgré les messages choc des campagnes de prévention.

En 2021, après la vitesse excessive et l’alcool, les stupéfiants ont été la troisième cause d’accidents mortels.

Chaque année, 700 personnes perdent la vie sur la route, tués par des conducteurs sous l’emprise de la drogue. Les substances le plus détectées sont le cannabis, qui altère les réflexes, et la cocaïne, un excitant. 

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Les bienfaits du cannabis ?

Accident mortel à Bourges, le conducteur positif au cannabis

Les analyses toxicologiques pratiquées sur le conducteur de la voiture tombée dans une tranchée, avenue Pierre-Bérégovoy, à Bourges, dimanche soir, ont révélé la présence de stupéfiants.

Le trentenaire, qui avait une alcoolémie de 3,13 g/l de sang, avait également consommé du cannabis selon les résultats connus ce vendredi 23 décembre.

Le conducteur, 30 ans, et le passager avant, 25 ans, ont été tués dans cet accident. Le passager arrière, 27 ans, a été blessé.

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Le cannabis tue

Bayonne : ivre, il s’engage en sens interdit avec du cannabis dans les poches

Bayonne : ivre, il s’engage en sens interdit avec du cannabis dans les poches
La conduite du jeune homme a attiré l’attention d’une patrouille de la police municipale. © Crédit photo : Illustration Émilie Drouinaud

Un conducteur de deux-roues de 29 ans a été interpellé par la police municipale et placé en garde à vue au commissariat de Bayonne, dans la nuit du jeudi 22 au vendredi 23 décembre

L’alcool, la drogue et l’infraction routière. L’homme de 29 ans interpellé à Bayonne dans la nuit du jeudi 22 au vendredi 23 décembre cumule les trois. Des policiers municipaux l’ont remarqué quand il s’est engagé avec sa moto dans un sens interdit au niveau de l’impasse Joseph-Desarmeniens, dans le quartier Saint-Esprit.

Sur lui, les agents ont découvert quelques grammes de résine et d’herbe de cannabis. Il s’est également révélé positif au test d’alcoolémie. Vendredi, il se trouvait toujours en garde à vue au commissariat de Bayonne et devrait faire l’objet d’une convocation devant la justice.

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