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Thierry Ardisson se livre sur son addiction à la drogue :

« Je ne voulais pas me considérer malade, ce qui était le cas malheureusement »

Maïlis Rey-Bethbeder

French TV host Thierry Ardisson poses during a photo session in Paris on April 20, 2022. (Photo by JOEL SAGET / AFP) (Photo by JOEL SAGET/AFP via Getty Images)
Thierry Ardisson se livre sur son addiction à la drogue : « Je ne voulais pas me considérer malade, ce qui était le cas malheureusement ». (Photo by JOEL SAGET/AFP via Getty Images)

Intervenant dans le documentaire « L’âge d’or de la pub », sur France 3 ce vendredi 2 juin, Thierry Ardisson s’est installé depuis longtemps dans le paysage audiovisuel français. S’il a l’occasion de participer à de nombreuses soirées depuis le début de sa carrière à la télévision, l’animateur a découvert le monde de la nuit bien avant, en tant que DJ puis publicitaire. Une période à partir de laquelle il est devenue dépendant aux drogues, dont il a eu énormément de mal à se défaire.

Avant d’avoir la carrière qu’on lui connaît, Thierry Ardisson a eu d’autres vies. Ainsi, dans les années 60, il officie en tant que DJ sur la Côte d’Azur, dont sont originaires ses parents. À 17 ans, il travaille dans une discothèque de Juan-les-Pins. C’est durant cette période qu’il découvre la drogue, en teste plusieurs jusqu’à devenir accro et mener un long combat pour s’en débarrasser.

La Minute de Thierry Ardisson

« On a été la première génération à avoir la drogue en vente libre »

« Je suis devenu disquaire au Whisky à gogo, et j’ai découvert la musique et j’ai découvert la nuit. (…) Une fois que j’avais fini mon boulot à Juan-les-Pins, on allait à Cannes dans des endroits louches », a révélé Thierry Ardisson au micro de France Bleu, en février 2022.

Arrivé à Paris, il continue à consommer de la drogue, dans les soirées au Palace ou aux Bains Douches, mythiques club de l’époque. Dans ces ambiances festives, la drogue est démocratisée sans plus de prévention, des moments dont se souvient Thierry Ardisson :

« Honnêtement, on a été la première génération à avoir la drogue en vente libre. Avant nous, la drogue, l’héroïne, c’était réservé aux jazzmen afro-américains. Personne n’en prenait. Certains prenaient de l’opium, mais ce n’était pas courant. »

Des habitudes dont il est difficile de se défaire, notamment quand, alors publicitaire, Thierry Ardisson trouve des slogans très efficaces en fumant « trois à quatre pétards par jour », comme il l’a expliqué en 2017 au magazine Playboy. « Vieille habitude : un bain, un pétard, un concept. « Lapeyre, y’en a pas deux », j’ai trouvé ça dans mon bain moussant, complètement défoncé », a-t-il poursuivi.

Lors d’un voyage avec sa femme, après une rencontre avec un milliardaire, la prise de drogues dures devient quotidienne et facile pour l’animateur : « En 1974, j’ai connu la « easy life », on était à Bali, je sniffais de la super poudre toute la journée sans m’en rendre compte. Mais le problème avec l’héroïne, c’est qu’au début, tu en prends pour être bien et après, tu en prends pour ne plus être mal. Donc bon, est arrivé un moment où il a fallu globalement passer à autre chose. »

En France, comme partout ailleurs en Europe, la pratique du chemsex fait des victimes. Le terme est la contraction de « Chemicals »(drogues ) et de sexe. Elle consiste à la consommation de drogues dans le cadre de rapports sexuels. Jean-Luc Romero, homme politique adjoint à la mairie de Paris, fait la lumière sur une pratique dangereuse qui peut s’avérer mortelle et qui l’a privé de l’homme de sa vie. 

« J’en ai c*ié pendant trois mois »

Déterminé à se débarrasser de cette addiction, l’animateur décide de partir outre-Atlantique, comme il l’a rapporté à France Bleu : « Moi j’ai quitté la France, je n’ai pas voulu médicaliser le truc. Je n’ai pas voulu aller à l’hôpital prendre de la métadone et tout ça. Je ne voulais pas me considérer malade, ce qui était le cas malheureusement. Je suis parti aux États-Unis dans un endroit où j’étais sûr de ne pas en trouver. Mais j’en ai c*ié pendant trois mois (…) Je m’en suis sorti, mais c’est ce que j’ai fait de plus dur dans ma vie. »

Le présentateur regrette de ne pas avoir eu davantage de sensibilisation aux dangers de la drogue et insiste sur l’importance d’en informer les jeunes générations.

« Aujourd’hui, les gens on leur dit : ‘Fais gaffe, l’héro, c’est très dur d’en sortir, la cocaïne ça va te bouffer la partie blanche du cerveau' » a-t-il constaté, avant de poursuivre : « On sait ce que ça fait. Nous, on s’est jetés dedans la tête la première. »

S’il semble avoir cessé de consommer des drogues dures, Thierry Ardisson se bat encore contre ses vieux démons et n’a pas tout arrêté : en 2018 notamment, contrôlé avec sept grammes de cannabis, il a écopé d’une amende de 50 euros.

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Fiona Gélin célèbre ses 61 ans ce lundi 22 mai.

Si la comédienne a durablement marqué le cinéma et le théâtre français, elle a eu un parcours semé d’embûches, entaché par des addictions à l’alcool et à la drogue ainsi que par de (récents) problèmes d’argent.

Sortie du tunnel, l’actrice a gagné le combat contre ses vieux démons. Sa célèbre famille, ses drames, son compagnon, son fils… 

Voici tout ce que vous ne saviez pas sur Fiona Gélin

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« Je devenais dépendante » : Carole Bouquet sans filtre sur sa consommation de drogue

 Loïc Durand

Carole Bouquet ne le cache pas : elle s’est droguée durant une période de sa vie. Ses révélations sont sans tabou.

"Je devenais dépendante" : Carole Bouquet sans filtre sur sa consommation de drogue

Après l’affaire Pierre Palmade, qui a causé un grave accident alors qu’il était sous l’emprise de la cocaïne, le sujet de la drogue chez les stars a été beaucoup évoqué. Cyril Hanouna a ainsi été accusé par un ancien dealer de prendre de la drogue, par exemple. Mais le cas le plus intéressant semble être celui de l’actrice Carole Bouquet.

« La drogue permettait de me lever »

Des déclarations datant d’une interview faite au magazine Psychologies en 2010, et d’autres plus récentes, faites dans un podcast de RTL en 2020, ont été exhumées. Pourquoi ? Parce que Carole Bouquet y évoque son addiction à la drogue dans le passé et parce qu’elle est une amie de Pierre Palmade.

Pour elle, la consommation de drogue a commencé à la fin des années 70, une période sombre pour elle puisque son père est alors tombé gravement malade. La jeune actrice d’alors a dû s’occuper de lui, avec sa sœur. « La drogue me permettait tout simplement de me lever le matin, d’aller à l’hôpital, puis de m’occuper de lui à la maison alors qu’il était atrocement malade », explique-t-elle à ce sujet.

« Ça me donnait de la force »

Elle ajoutait également : « Ça me donnait de la force. C’était comme une béquille qui rendait les choses plus douces ». Des explications à ce sujet ? Elle en avait : « j’étais une fille de bonne famille au milieu des musiciens les plus camés au monde ».

Mais la mère de Dimitri Rassam (le mari de la princesse Charlotte Casiraghi) a su reprendre les choses en mains pour ne « pas plonger ».

« Quand j’ai vu que je remplaçais un manque par un autre, que je devenais dépendante, j’ai réglé le problème le plus vite possible« , avait-elle confié. Et c’est tant mieux pour elle et pour sa famille !

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L’affaire Palmade, un fait divers utile ?

16 février 2023


La très forte médiatisation de l’affaire Palmade attise les passions et parfois les excès. Depuis près d’une semaine, la presse est accusée d’en faire « trop », d’être voyeuriste, de ne parler que de l’auteur présumé sans un mot pour les victimes…

Mais ce dramatique accident permet au moins d’évoquer des sujets qui dépassent le simple faits divers. En parler, c’est éveiller les consciences, rappeler les risques et leurs conséquences.

Ça n’est pas inutile.
En premier lieu, les risques liés à la consommation de drogues. Pas inutile à rappeler dans un pays leader de la consommation de stupéfiants et de médicaments. Un pays où on parle encore souvent de « drogues douces » ou « récréatives » en jetant un voile pudique sur les ravages de ces addictions.

La déchéance publique et médiatique de Pierre Palmade dure en réalité depuis longtemps, mais des milliers d’autres français anonymes vivent les mêmes déséquilibres et, finalement, les mêmes maladies.

En parler n’est pas inutile. Il est temps de poser la question de la place des victimes dans les procédures judiciaires
L’affaire Palmade pose aussi la question de l’insécurité routière qui décime la France chaque semaine.

Alcool, vitesse, stupéfiants, téléphone : les causes des accidents graves sont multiples et parfois cumulatives.

Cette insécurité détruit des familles, souvent dans l’anonymat le plus complet. En parler n’est pas inutile.
L’affaire Palmade pose aussi le sujet de la place des victimes dans les procédures judiciaires. Leur état de santé a parfois semblé moins commenté que celui de Pierre Palmade.

Cette impression est le reflet d’une vraie problématique française où les victimes sont souvent abandonnées, oubliées, délaissées, quand tout semble prévu dans le code pour encadrer les auteurs.

Parler de ce déséquilibre n’est pas inutile.

L’affaire Palmade permet enfin pour beaucoup de découvrir le « chemsex » et ses risques. Cette pratique, réservée un temps à la communauté homosexuelle, se développe dangereusement. Elle consiste en des fêtes sexuelles durant plusieurs heures, soutenues par la consommation de drogues qui désinhibent et permettent d’endurer ce « marathon sexuel extrême ».

Cette pratique a déjà provoqué des décès par overdose et s’accompagne de toutes les dérives possibles. En parler n’est pas inutile.

Par Damien Delseny Rédacteur en chef du service police-justice du Parisien

Source :Le Parisien 16/02/2023

Information fournie par Xavier de Beaurepaire

Accident de Pierre Palmade: l’humoriste positif à la cocaïne

Une femme enceinte blessée a perdu son bébé

L’humoriste a été impliqué dans un accident de la route en Seine-et-Marne, dans lequel quatre autres personnes ont été blessées.

L’humoriste Pierre Palmade et quatre autres personnes ont été «très grièvement blessés» à la suite d’un accident de la route, a appris Le Figaro vendredi 10 février, confirmant une information du Journal du dimanche. 

La femme enceinte blessée dans le carambolage a perdu son bébé, annonce le parquet ce samedi après-midi. Selon des informations du Parisien confirmées par le parquet au Figaro, l’humoriste était positif à la cocaïne.

On ignore pour l’instant l’heure et la date de la prise de la drogue. Son test d’alcoolémie était en revanche négatif.

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Guillaume Canet sans filtre : l’acteur révèle comment sa consommation de drogues a aggravé ses TOC

Guillaume Canet
Guillaume Canet se confie sur sa consommation de drogues © Sébastien BERDA / AFP

3Dans une interview accordée à Guillaume Pley dans l’émission « Legend », à découvrir sur YouTube, Guillaume Canet, toujours en promo pour son film « Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu », l’acteur s’est confié sur ses addictions passées. L’époux de Marion Cotillard a « fumé pas mal de pétards » et cette mauvaise habitude a aggravé ses TOC. 

Guillaume Canet vit un moment charnière de sa carrière. Son très attendu filmAstérix et Obélix : L’Empire du Milieu, sorti le mercredi 1er février au cinéma, a déjà dépassé les 2 millions d’entrées au cinéma. Si le long-métrage est un succès au box-office, les critiques de la presse et des spectateurs sont beaucoup plus mitigées. Pas de quoi abattre Guillaume Canet, qui continue sa tournée des médias. Jeudi 9 février, il était l’invité de Guillaume Pley dans l’émission Legend, à découvrir sur YouTube. 

« J’ai eu beaucoup de TOC dans mon enfance et dans les dernières années »

L’occasion pour l’acteur, qui rencontre en ce moment des problèmes de couple avec son épouse Marion Cotillard, de se confier sur les moments marquants de sa vie comme son premier rencard ou encore sa pire gueule de bois… Face à Guillaume Pley, le papa de Marcel et Louise est allé très loin dans ses confidences, évoquant un sujet particulièrement intime : ses TOC (ndlr : troubles obsessionnels du comportement).  « J’ai eu beaucoup, beaucoup de TOC dans mon enfance et dans les dernières années », révèle Guillaume Canet qui n’a plus ce problème de puis « à peu près cinq ou six ans ». 

Guillaume Canet fermait sa voiture « 20 fois »

« Mais j’ai eu des périodes… Comme je fumais pas mal de pétards à une époque, c’était encore pire », poursuit l’acteur qui incarne Astérix dans son nouveau film. Comment ces troubles se manifestaient-ils ? « En fait, je pouvais me garer, monter chez moi au cinquième étage sans ascenseur et me dire : ‘Non je n’ai pas fermé la voiture…’ alors que je l’avais fait 20 fois. Donc je redescendais, faisais le tour de la voiture et je repartais, mais au bout de la rue je pouvais douter et revenir (…) Les robinets fuyaient de partout chez moi. Parce que je les fermais à fond, pour être sûr que ça ne coule pas, mais en fait les joints morflaient », raconte Guillaume Canet. https://www.youtube.com/embed/cK03YeuJD1w

Des TOC liés à des angoisses

L’acteur a finalement consulté un psychologue qui lui a fait comprendre que ses TOC étaient liés à ses angoisses.

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Le combat de Joana Balavoine contre l’addiction

La fille du célèbre chanteur se confie sur sa lutte pour sortir de la drogue après quatorze ans d’addiction à la cocaïne.

Écrit par Thelma SUSBIELLE

« Dès le matin, je me réveillais et c’était un joint, une ligne de cocaïne, un café. Et en fait, rien qu’à partir de là, la journée, elle est foutue. »

Pendant 14 ans, Joana Balavoine a été dépendante à la cocaïne. Elle raconte son combat pour s’en sortir dans la bande dessinée Les Lions endormis.

L’addiction progressive

Alors qu’elle n’a que 16 ans, durant un petit boulot estival, on lui propose de la cocaïne et de l’ecstasy. Joana raconte cette première fois : « Je n’ai ni été attirée ni voulu. Je crois que je me suis laissé prendre avec insouciance et inconscience comme finalement beaucoup de gens. » Elle suit le mouvement. Puis recommence : elle est jeune et aime faire la fête. Sans vraiment s’en rendre compte, la fille de Daniel Balavoine tombe progressivement dans l’addiction : « Il n’y a pas eu tout de suite une énorme consommation.« 

C’est autour de ses 25 ans, un âge qu’elle décrit comme celui où l’on commence à être un peu plus construit, à savoir ce qu’on veut, que Joana commence vraiment à glisser tout en donnant l’impression de gérer. « C’est vrai que dans ma vie, j’ai eu un groupe, j’avais quand même quelques petites accroches« , retrace-t-elle. Difficile de raconter une journée type. La jeune musicienne prend des cours de musique, mais ne s’investi pas réellement. « Je faisais tout en dilettante, et je me retrouvais finalement à être très seule. Très très seule.« , dépeint aujourd’hui Joana.

Au fond du trou

À ce moment-là, elle commence à se créer un personnage et s’enferme dans l’illusion que tout va bien. Néanmoins, la jeune femme est consciente d’être malheureuse au fond d’elle-même : « Je commençais à voir que tout ce que j’entreprenais ne fonctionnait pas. » N’ayant plus complètement conscience de la vérité, Joana se met à mentir et se perd dans ses mensonges.

Même dans ses relations amoureuses, la drogue occupe une place majeure : « Quand on se drogue à deux, c’est très compliqué. » Son addiction fait des ravages dans son entourage. Une phrase de son professeur de chant se révèle être un déclic pour elle : « Tu sais que je t’aime, mais je ne vais plus pouvoir t’enseigner. J’arrive à mes limites. »

S’en sortir

Cette annonce, faite avec amour et amitié, redonne à Joana une lueur d’espoir : « On se dit : peut-être que j’en vaux la peine. » Pour l’ancienne addict, un petit geste peut faire beaucoup : « Je recommande de tendre la main. » Néanmoins, Joana insiste sur la nécessité de faire appel à des professionnels pour sortir une personne de la drogue. Car même après une cure de désintoxication, le chemin est long : « Le plus difficile arrive à la fin de la cure. Quand on n’a plus cette dépendance pour s’accrocher et on voit la vie complètement différemment sauf qu’on n’a plus la béquille. Il faut réapprendre à marcher« , expose-t-elle.

Aujourd’hui, la jeune femme, qui est débarrassée de ses problèmes d’addiction, veut témoigner et invite surtout à apprendre à pardonner… à se pardonner.

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Les stars sans tabou sur leurs addictions

François Cluzet alcoolique

François Cluzet alcoolique

Dans le magazine ELLE en 2009, François Cluzet a raconté son alcoolisme qu’il a vaincu après une cure de désintoxication : « On fait un métier très mondain. Où que vous alliez, on vous propose un verre. Dans certains festivals, dès dix heures du matin, un plateau avec des flûtes de champagne surgit. Sur un tournage, il y a toujours quelque chose à fêter. Il y a le pot de la déco, le pot du départ, le pot de la fin de journée… » Par la suite, « j’ai fait une cure de désintoxication dans une clinique. » Depuis, cette mauvaise période fait partie du passé.

photo 1/15© DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGEFrancis Perrin dépendant à l'alcool

Francis Perrin dépendant à l’alcool

Francis Perrin est revenu sur sa guérison de l’alcoolisme dans La Boîte à secrets. « Il y a des moments dans la vie qui sont des drames, qui arrivent, et on croit que l’on peut soigner cela par l’alcool, a confié Francis Perrin pour l’occasion. Et donc j’ai été alcoolique. On croit que c’est un médicament, que ça soigne, alors que c’est un poison. » Grâce à sa femme et ses amis, il a mené son combat vers le sevrage.

photo 2/15© COADIC GUIREC / BESTIMAGE

Bernard Campan et sa femme Anne, alcoolique

Depuis plus de trente ans, Bernard Campan partage sa vie avec Anne. Le couple a traversé des épreuves, dont la dépendance à l’alcool de sa femme. Une addiction que la mère de famille est parvenue à combattre. « Quand Anne est sortie de l’alcoolisme, de son addiction, elle a réussi ça grâce aux Alcooliques anonymes. Et pour moi, ça a été l’occasion de les découvrir. C’est vraiment quelque chose qui m’a beaucoup marqué. Finalement, c’est une forme de spiritualité« , avait-il affirmé. Il a ensuite évoqué cette lutte dans son film La Face cachée, réalisé en 2007.

photo 3/15© Agence / BestimageRobert Downey Jr, un drogué

Robert Downey Jr, un drogué

Robert Downey Jr a été élevé par un père toxicomane, qui l’a autorisé à fumé dès l’âge de six ans. À cause de ça, l’acteur a pris de la drogue et bu de l’alcool de manière régulière jusqu’à ses 33 ans. Grâce à de nombreuses thérapies et des programmes de désintoxication, Downey Jr. a enfin pu s’affranchir de ses dépendances.

photo 4/15© Backgrid UK/ BestimageThierry Ardisson consommateur de drogue

Thierry Ardisson consommateur de drogue

Thierry Ardisson est tombé dans les addictions durant sa jeunesse, au tout début des années 70. Très vite, il découvre le monde de la nuit, là où alcool et drogue rythmes les soirées. « Nous, on s’est jeté dedans la tête la première » a-t-il avoué. Finalement, il a décidé de se sevrer lui-même de la drogue : « Je m’en suis sorti, mais c’est ce que j’ai fait de plus dur dans ma vie honnêtement. L’héro, au début, on en prend pour être bien, puis au bout d’un moment, on en prend pour ne pas être mal… »

photo 5/15© COADIC GUIREC / BESTIMAGE

photo 6/15© Jack Tribeca / BestimageAstrid Veillon addict à la drogue et l'alcool

Astrid Veillon addict à la drogue et l’alcool

Astrid Veillon a confié avoir été addict à la drogue : « J’ai failli en mourir. » Un jour, l’actrice en a pris beaucoup trop, « je tremblais de tout mes membres et j’ai les yeux qui convulsés. J’avais le nez qui pissé le sang. » Des images hyper violentes qui l’ont marqué à vie. Aujourd’hui, elle est heureuse d’avoir « arrêté cette merde. »

photo 7/15© Bruno Bebert / BestimageRocco Siffredi accro au sexe

Rocco Siffredi accro au sexe

Rocco Siffredi est un très célèbre acteur porno. En plus de trente ans de carrière, il a exploré tous les fantasmes jusqu’à être hanté par le désir. « Mon sexe était un démon qui avait pris le contrôle de mon corps » dira-t-il pour expliquer son addiction au sexe.

photo 8/15© Pierre Perusseau / BestimageSylvain Augier accro aux médicaments

Sylvain Augier accro aux médicaments

Sylvain Augier a vécu une période sombre dans sa vie. À la suite d’un terrible accident de parapente, il va vivre l’horreur. Pour guérir son pied qu’il a refusé d’amputer, il enchaîne les opérations douloureuses. La souffrance est tellement insoutenable qu’il prendra l’habitude de la morphine. À partir de là, les médicaments vont rythmer ses journées : « Ça a été très dur d’arrêter. On s’habitue, on en a besoin. »

photo 9/15© Denis Guignebourg / BestimageMike Tyson drogué

Mike Tyson drogué

Dans son ouvrage, Mike Tyson a révélé s’être drogué avant certains de ses combats les plus célèbres et avoir été dépendant à la cocaïne et au cannabis pendant une grande partie de sa carrière. Une addiction qui prend racine dès son plus jeune âge puisqu’on lui aurait fait boire de l’alcool alors qu’il n’était qu’un nourrisson et qu’il ait ensuite essayé de consommer de la cocaïne dès ses 11 ans.

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Louis Bertignac cash sur son passé : “J’ai essayé toutes les drogues dures”

Solenne Rivet | mar. 27 décembre 2022 

Invité du podcast Addiktion, ce mardi 27 décembre, Louis Bertignac s’est confié en toute franchise sur sa consommation excessive de drogue dans le passé. Sans filtre, l’artiste de 68 ans a avoué avoir tout essayé et ceci dès son plus jeune âge.

Un témoignage sans tabou. Figure incontournable du rock français, Louis Bertignac a toujours évoqué sans filtre sa grande consommation de drogue lorsqu’il était plus jeune. Soucieux de vouloir aider les gens à lutter contre cette addiction, l’ancien guitariste du groupe Téléphone est revenu sur ses excès dans le podcast Addiktion du médecin, psychiatre et addictologue Laurent Karila.

Au cours de cet épisode, l’artiste de 68 ans a avoué avoir essayé différentes drogues lorsqu’il était encore lycéen. « J’ai essayé un peu de tout, toutes les drogues dures pour commencer, mais genre essayé, juste une fois chacune. », a-t-il raconté en préambule. Avant de poursuivre : « J’ai essayé l’héroïne, la morphine et la cocaïne en shoot. J’avais 17 ans, j’étais en première ou en terminale, je ne sais plus. » 

Curieux de « tester le truc »l’ancien coach de The Voice n’a finalement pas été attiré par ces stupéfiants. Dès lors, Louis Bertignac se contentait de fumer « un pétard » avec un ami. « C’était devenu une habitude », a-t-il confié à l’addictologue.

Cependant, quelques années plus tard, le chanteur s’est mis à consommer différemment l’héroïne. Dès lors, l’interprète du titre Ces idées-là n’a pu s’en passer. « Et puis deux ou trois ans après, c’est un copain qui m’a fait découvrir l’héroïne en sniffant et avec des petites doses. Et là, ça me faisait moins peur et j’avoue que j’ai aimé la sensation que ça m’a apporté.”, a-t-il confié.

Bien que grand consommateur de cette drogue dure, Louis Bertignac a assuré n’avoir jamais augmenté les doses. « C’était des toutes petites quantités, des petites lignes, quand les copains se faisaient une grande ligne de 10 centimètres, la mienne c’était un centimètre parce que j’avais quand même peur que ça m’abîme. » 

Si les tournées avec le groupe mené par Jean-Louis Aubert pouvaient être propices à la consommation de drogue, le papa du petit Jack a avoué qu’il ne supportait pas « de jouer défoncé »« Quand j’étais avec Téléphone, à l’époque où j’étais vraiment dans l’héroïne, j’allais jamais répéter défoncé, et quand je partais en tournée, c’était justement la décroche. » Cependant, ce travers refaisait surface une fois de retour à Paris.

Aujourd’hui, Louis Bertignac n’a plus qu’une seule addiction : la cigarette électronique. Une habitude qu’il souhaite définitivement perdre.

>> PHOTOS – Louis Bertignac, François Cluzet… Les stars sans tabou sur leurs addictions

Louis Bertignac : ce problème de santé causé par sa consommation de drogue

Cette consommation excessive de drogue n’a pas été sans conséquence sur la santé de Louis Bertignac. Invité de l’émission En aparté diffusée sur Canal+, le 16 juin 2022, le compagnon de Laetitia Brichet s’est confié sans détour sur cette addiction. « Je craquais assez souvent. Parfois, des jours, je prenais tout ce qui pouvait exister. Tout dans la même journée. C’était un peu débile. », a-t-il révélé à Nathalie Levy. Jusqu’au jour où un grave problème de santé l’a poussé à revoir sa consommation. « J’ai chopé une hépatite C, je m’en suis rendu compte trente ans après. Je ne peux pas dire que je regrette parce que ça fait partie de ma vie, c’est comme ça. »

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