Recherche

Mois

avril 2014

ALCOOL + CANNABIS au volant et le risque d’accident augmente

SOURCE

Il faut souligner ce risque terriblement accru d’accident, aux adolescents qui consomment à la fois de l’alcool et du cannabis avant de prendre le volant, conclut cette étude de l’Université du Michigan, publiée dans le Journal of Studies on Alcohol and Drugs. Un risque de conduite dangereuse accru de 50 à …90%. 
Et 30% des adolescents qui conduisent dans ces conditions auront un accident de la route dans l’année.

Les chercheurs insistent sur le besoin d’éducation sur les risques de consommation combinée de l’alcool et du cannabis, un multi-usage fréquent à l’adolescence, à risque d’effets sur la santé mentale tout autant que d’accidents.

L’étude a porté sur les données de plus de 72.000 étudiants américains.

  • Les 2 tiers des participants ont déclaré avoir consommé de l’alcool et du cannabis ensemble, au moins une fois dans la dernière année (2011).
  • 21% au moins occasionnellement.
  • L’analyse révèle un risque accru non seulement par rapport à ceux qui ne consomment aucune des 2 substances, mais aussi par rapport à ceux qui ne consomment que l’une d’entre elles ou les deux, mais pas en même temps.
  • 40% des adolescents ayant consommé les 2 substances ensemble ont reçu une contravention dans la dernière année,
  • 30% ont eu un accident dans la dernière année.
  • Ces multi-usagers sont 50 à 90% plus nombreux à admettre avoir une conduite dangereuse vs leurs homologues plus sobres.

La principale conclusion est que ce n’est pas seulement la fréquence d’utilisation de ces substances qui fait le risque, mais également leur combinaison. Il s’agit donc de communiquer auprès des jeunes sur le risque particulièrement élevé d’accident de voiture, avec la consommation simultanée d’alcool et de cannabis. Le message « Boire ou conduire, il faut choisir » n’est pas vraiment d’actualité.

Source: Journal of Studies on Alcohol and Drugs 3: May 2014  Alcohol and marijuana use patterns associated with unsafe driving among U.S. high school seniors: High use frequency, concurrent use, and simultaneous use

Autres actus sur Cannabis et Alcool au volant

Fumer du cannabis présenterait des risques pour le coeur chez les jeunes

Fumer du cannabis présenterait des risques cardiovasculaires graves voire mortels chez les jeunes adultes, selon une étude française publiée mercredi qui jette un doute de plus sur l’innocuité de cette drogue objet d’une légalisation croissante aux Etats-Unis.

« Le public pense que la marijuana est inoffensive mais les données révélant les dangers potentiels pour la  d’en utiliser doivent être signalés dans la population, auprès des décideurs et des professionnels de la santé », insiste la Docteur en pharmacie, Emilie Jouanjus, du Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse, principal auteur de cette étude parue dans la revue de l’American Heart Association. 
« Il existe désormais des indications irréfutables du risque grandissant de complications cardiovasculaires liées au fait de fumer de la marijuana, surtout chez les jeunes », poursuit-elle, notant que ceux ayant des faiblesses cardiaques préexistantes semblent être plus prédisposés.

Cette étude a été effectuée avec des données portant sur 1.979 fumeurs de cannabis, la plupart des hommes d’une moyenne d’âge de 34 ans, ayant souffert d’effets néfastes liés à cette drogue en  de 2006 à 2010.
L’analyse montre que près de 2% (35) ont eu des complications cardiovasculaires graves. Dans ce groupe, vingt ont eu un infarctus dont le plus jeune avait 17 ans sans antécédent cardiaque et venait de commencer à fumer du cannabis. Dix autres ont connu des problèmes vasculaires dans les jambes et trois, un accident vasculaire cérébral. Neuf de ces patients (25,6%) sont décédés.

Ces chercheurs ont également constaté que l’incidence des problèmes cardio-vasculaires liés à la marijuana a plus que triplé de 2006 à 2010.
Généralement les complications cardiovasculaires chez les jeunes se produisent chez les femmes prenant la pilule contraceptive et qui fument, note Emilie Jouanjus.
« Dans notre étude ce sont des hommes entre 22 et 26 ans qui ont un infarctus ou un accident vasculaire cérébral sans facteur de risque particulier sauf qu’ils étaient de gros consommateurs de cannabis », explique-t-elle à l’AFP.
« C’est une tendance qui nous fait penser qu’il y a un lien avec une forte  de cette drogue et les complications cardiovasculaires (…) rares et graves, mais notre étude ne permet pas de l’établir » de façon irréfutable, poursuit-elle soulignant l’importance de poursuivre les recherches.

Selon le Dr Jouanjus, le nombre de personnes souffrant de problèmes cardiaques liés à la marijuana est très sous-estimé avec en France seulement 5% de ces cas signalés aux autorités médicales par les médecins. 
En France, on estime à 1,2 million le nombre de fumeurs réguliers de cannabis qui consomment au plus neuf joints par mois, selon la chercheuse. Dans le monde, il y aurait 200 millions d’utilisateurs.
Le Dr Valentin Fuster, chef du service de cardiologie à l’hôpital Mount Sinai à New York s’est déclaré « préoccupé par les effets du cannabis » car il observe « un certain nombre de cas de problèmes cardiovasculaires chez des jeunes ne pouvant s’expliquer que par l’usage de la marijuana ».

« L’étude française -à laquelle il n’a pas participé, ndlr–conforte la thèse selon laquelle le cannabis n’est pas sans danger pour le système cardiovasculaire », dit-il dans un courrier électronique à l’AFP.
Mais ajoute-t-il, « je ne sais pas si la marijuana est plus ou moins risquée que le tabac mais une chose est sûre, ça affecte les jeunes?.
Selon une petite étude publiée le 16 avril dans le revue américaine, the Journal of Neuroscience, fumer régulièrement du cannabis serait responsable d’anomalies cérébrales chez les jeunes adultes, selon des scanners effectués sur le cerveau d’utilisateurs comparé à des non-fumeurs pendant trois mois. 

Près de 12 millions d’Américains utilisaient de la marijuana en 2012.
Vingt-un Etats américains ont légalisé l’usage médical du Cannabis et trois son utilisation pour le plaisir à partir de 21 ans, dont le Colorado.

Source

L’ALLERGIE AU CANNABIS, ÇA EXISTE !

Les descriptions d’allergie aux drogues et aux stupéfiants sont rares, probablement en raison du caractère illicite de leur utilisation.

Pourtant, ces dernières années, on assiste à une forte hausse des cas d’allergies, notamment au cannabis.

Le cannabis : drogue illicite largement consommée
De plus en plus de cas d’allergies au cannabis

En 2009, le nombre de consommateurs illicites de cannabis a été estimé entre 125 et 203 millions de personnes, soit 2,8 à 4,5 % de la population adulte mondiale. À noter que dans certains pays, un usage à but médical lui est reconnu.

Les symptômes sont respiratoires (rhinite, asthme), surtout chez les fumeurs de marijuana via des allergènes aéroportés, lesquels peuvent aussi constituer une cause de sensibilisation passive, ce qui a récemment été suggéré chez un enfant de 5 ans.

Des symptômes cutanés immédiats peuvent aussi se manifester lors de contact avec la plante (urticaire, œdème…). Des anaphylaxies ont été signalées après ingestion de graines de cannabis ou avoir bu une infusion de marijuana. Enfin, les pollens de cannabis sont susceptibles de déclencher des symptômes respiratoires ou un asthme allergique.

Une sensibilisation au cannabis pourrait aussi engendrer une allergie croisée avec des céréales, des boissons alcoolisées (bière, vin), le latex et le tabac.

Le diagnostic de l’allergie au cannabis nécessite de consulter un allergologue lequel procèdera à des tests (prick-tests effectués avec une partie de la plante).

Sources : 9e Congrès francophone d’allergologie, 15-18 Avril 2014.

Source 

Alcool et cannabis : il se jette du 5e étage

Un jeune de 18 ans a été retrouvé lundi après-midi sur le capot d’une voiture, rue Léon Jouhaux à Lyon 3e.

Il venait de chuter de cinq étages, depuis le balcon de l’appartement d’une famille où il était hébergé.

Originaire de Mions, il venait de consommer cannabis et alcool. Selon les personnes présentes dans l’appartement, pris de vertiges, il venait de vivre un « bad trip » et s’était jeté dans le vide sans que ses amis puissent intervenir.

Il est grièvement blessé.  Source

Détente : Beau …. et sans danger !

FUMER DU CANNABIS UNE FOIS PAR SEMAINE MODIFIE LE CERVEAU

Une nouvelle étude scientifique vient de paraître sur les effets du cannabis sur le cerveau, et elle ne va pas plaire aux consommateurs récréatifs. S’il faut souligner que l’étude, effectuée par des chercheurs de la Northwestern University aux Etats-Unis et publiée dans le Journal of neuroscience, porte sur un nombre limité de volontaires (20 fumeurs et 20 non-fumeurs âgés de 18 ans à 25 ans), ses résultats apportent un nouvel éclairage sur les dangers potentiels de la consommation de cannabis.

Il s’agit d’une des premières études à s’intéresser aux effets sur le cerveau chez les fumeurs récréatifs, a déclaré le directeur de l’Institut national sur l’abus de drogue américain à Associated Press.

Dans un communiqué publié par l’univeristé de Northwestern, le co-auteur Hans Breiter explique les résultats:

«Les gens pensent qu’une consommation récréative ne devrait pas poser de problème tant que la personne s’en sort dans son travail ou ses études. Nos données montrent clairement que ce n’est pas le cas. […] Cette étude remet en question de manière importante l’idée selon laquelle une consommation occasionnelle de cannabis n’a pas de conséquences néfastes.»

L’étude a demandé aux volontaires d’estimer leur consommation de cannabis au cours des trois derniers mois, et montre que même ceux qui ne fumaient qu’une ou deux fois par semaine montraient des signes d’anomalies dans deux régions du cerveau, l’amygdale et le noyau accumbensimpliquées respectivement dans les émotions et la motivation, souligne le site Journal de la science. Hans Breiter a déclaré à Associated Press qu’il fallait maintenant mener d’autres études sur le plus long terme pour voir si les changements cérébraux entraînent des symptômes.

Comme l’écrit le Washington Post, les attitudes culturelles autour du produit évoluent très rapidement aux Etats-Unis:

«La décriminalisation et la légalisation du cannabis, qui étaient inconcevables il y a seulement une génération, ont eu lieu dans plusieurs Etats au cours des dernières années. Des nouvelles industries ont vu le jour autour de la plante dans le Colorado et l’Etat de Washington depuis qu’il ont légalisé cette drogue.»

Ailleurs, l’Uruguay est devenu le premier pays à autoriser et contrôler tous les aspects de l’industrie, de l’importation à l’exportation en passant par la plantation, la culture, la récolte, la production, l’acquisition, le stockage, la commercialisation et la distribution du cannabis et de ses dérivés.

En France, l’ancien ministre de l’Intérieur Daniel Vaillant milite pour des mesures similaires afin notamment de mieux protéger la santé des consommateurs et d’éradiquer le trafic. Environ 1,2 million de Français sont des consommateurs réguliers et fument du cannabis au moins 10 fois par mois, tandis que 3,8 millions ont fumé au moins une fois dans l’année.

Source 

Global Drug Survey 2014 : Où en êtes-vous avec les drogues ?

La “Global Drug Survey” (GDS) est la plus grande enquête internationale sur l’usage des drogues, légales et illégales. Elle est fondée sur les réponses des consommateurs et milite pour une réduction des risques.

La Global Drug Survey (GDS) est la plus grande enquête internationale sur l’usage des drogues. Dirigée par le Dr Adam Winstock, psychiatre addictologue, son projet est de “donner la parole à ceux qui connaissent le mieux les drogues : les consommateurs”.

La GDS 2014 a été conduite en novembre/décembre 2013 sur un échantillon de près de 80 000 usagers de drogues à travers 18 pays. C’est par une application disponible sur les plateformes de téléchargements qu’ont été recueillis les résultats (Drugs Meter & Drinks Meter). Pour la première fois cette année, la France a pris part à l’étude (2 051 personnes ont répondu aux deux questionnaires).

L’enquête porte sur toutes les addictions, des drogues dures (cocaïne, héroïne) et illégales (comme le cannabis) aux substances légales (tabac ou caféine). L’enquête ne permet pas d’établir un constat représentatif, l’échantillon questionné représente une population jeune, allant jusqu’aux trentenaires, plutôt éduquée et qui a fréquenté des boîtes de nuit durant les quatre dernières années. Elle permet toutefois de dégager quelques tendances commune aux 18 pays concernés par l’enquête.

L’alcool, tout en haut du podium

Le constat est sans équivoque, en France (94,3 % des sondés en ont consommé) et globalement dans l’étude mondiale, l’alcool demeure “le plus gros problème et de loin la plus grosse charge pour les services de santé” d’après le Dr  Winstock. Plus inquiétant, de nombreux usagers ne mesurent pas les risques auxquels ils sont confrontés. En moyenne, plus de 40 % des consommateurs ne sont pas conscients de leur addiction (le pourcentage grimpe à 65 % pour l’Allemagne). Se basant sur  le World Health Organization Alcohol Use Disorders (Audit), 25 % des personnes qui ont obtenu un score de 20 ou plus (ce qui les classe comme dépendants) pensent que leur consommation se situe dans la moyenne voire au-dessous.

Pour le Dr Winstock, un début de solution peut se trouver dans l’application Drinks Meter qui, d’après l’analyse de votre consommation d’alcool sur la semaine écoulée, détermine le total d’unités d’alcool ingéré et sa conversion en calories (convertissant ce chiffre en nombre de burgers) : “Un des moyens les plus efficaces pour réduire la consommation excessive d’alcool consiste à simplement montrer aux personnes combien elles boivent.”Limpide comme de l’eau.

Tabac et cannabis, médailles d’argent et de bronze

Le tabac (74,2 % des Français sondés) vient au deuxième rang du classement. Toutefois plus de la moitié de l’échantillon clame son “désir de fumer moins, voire d’arrêter”. L’étude coupe aussi court à l’idée selon laquelle la cigarette électronique tendrait à réduire la consommation de tabac “classique” des fumeurs. Seulement 10 à 20 % de ceux qui ont essayé la cigarette électronique, auraient remplacé leurs clopes pour une “vapoteuse”.

Troisième sur le podium (66,6 %) le cannabis (ainsi que ses dérivés) dont les amateurs ne diminuent pas. Toutefois les attentes des consommateurs apparaissent comme “paradoxaux”. Ils réclament un cannabis toujours pur pur (et donc plus fort en THC) mais en craignent les effets négatifs (troubles de la mémoire, hébétude, etc.)

Juste derrière ce tiercé gagnant, viennent MDMA, cocaïne, boissons cafféinées et cigarettes électroniques. Devant la cocaïne (24,4 %), jugée trop chère (en moyenne 100 euros le gramme en Europe, jusqu’à 250 euros en Nouvelle-Zélande) et de mauvaise qualité (une note moyenne de 3,4/10 pour le rapport qualité prix), la MDMA (23,1 %)  – issue de la même molécule que l’ecstasy – qui connaît un regain d’intérêt ces dernières années et la cigarette électronique (22,8 %), on retrouve les boissons énergisantes à base de caféine (37,9 %) dans la liste des addictions, qu’elles soient “légales” ou non.

Pour un usage raisonné des drogues

Une autre tendance est mise en lumière par l’étude, celle de la gueule de bois au travail. Près d’un tiers de l’échantillon reconnaît s’être rendu sur son lieu de travail avec la gueule de bois. Toutefois moins de la moitié de cet échantillon extrait avoue avoir en plus consommé de la drogue avant d’aller au travail.

Pour conclure, selon le Dr Winstock, l’enquête de la GDS peut se transformer en un outil pour les politiques publiques. Car ces dernières ne s’adressent en général qu’“à une minorité d’usagers qui ont développé une dépendance”, tout en ignorant tous ceux qui “aiment boire et prendre des drogues” pour leur prétendu côté festif. “La plupart des consommateurs ne subissent pas de conséquences graves, affirme le Dr Winstock. Le moteur n’est pas la dépendance, mais le plaisir.”  Il a ainsi mis au point le “High Way Code” (jeu de mots avec high, défoncé), lancé le 15 avril sur internet. Mis en place en collaboration avec des consommateurs, son but premier est de sauver des vies en promouvant une consommation “moins nocive des drogues”. Et ainsi accepter l’idée, selon Winstock, que la plupart des méfaits liés à la consommation de drogues peuvent être considérablement réduits par la façon dont vous les consommez.

Source

 

.

Détente : La danse ? ça conserve !!

80 ans et toutes ….ses jambes

source

Le cerveau des jeunes sous influence

Et le cannabis dans tout cela? Faut-il le dépénaliser? Un constat: on fume aujourd’hui un joint comme autrefois une clope. Inquiétant.

Quoi qu’on en dise de la «joint-thérapie», de ses vertus relaxantes ou apaisantes, le cannabis fait débat. Faut-il le dépénaliser ou, à l’extrême, ouvrir des officines où on le trouverait à la vente, sur prescription médicale, comme dans certains coins des États-Unis? Le corps médical est divisé. À l’hôpital d’Auvelais, c’est clair, on estime que le cannabis, quoique répertorié comme drogue douce, fait des ravages dans le cerveau des jeunes. Il le ramollit, en brouille les connexions, soumet le consommateur à des hallucinations.

On n’est plus vraiment soi. On est sous influence euphorisante, d’où son succès.

«Aujourd’hui, explique Claire Ketels, psychologue chez Zéphyr, on fume un joint comme autrefois une cigarette. Le cannabis est banalisé. Or, chez des personnes fragiles, sa consommation peut générer de l’angoisse, une perte de confiance en soi ou de l’agressivité. »

Parfois, cela peut être une crise de panique, le ressenti d’une terreur insoutenable.

Avec du cannabis dans le sang, les jeunes – (plus de 30% des 15-24 ans en a déjà consommé au moins une fois) – font ce qu’on appelle des (very) «bad trips ». Mais le voyage, beau au début, peut-être extatique, vire toujours au cauchemar. La «descente » qui s’ensuit peut donner lieu à un désordre comportemental inquiétant. On n’en sort jamais totalement indemne. En cas de consommation non maîtrisée, le cannabis cause des séquelles. Dans tous les cas, le corps trinque.

Une nouvelle vie

Recourir au sevrage est alors vital. Se sevrer, c’est cesser de s’intoxiquer. C’est se déclarer abstinent total. Cette épreuve implique un strict suivi médical voire une hospitalisation, sous peine de mettre sa vie en danger. La sensation de manque, très intense durant les 10 premiers jours, peut donner lieu à des nausées, des vomissements, de l’anxiété ou de l’irritabilité, des insomnies ou encore de l’hypertension artérielle. «C’est difficile d’arrêter mais c’est faire le choix d’une nouvelle vie ». C’est le prix de la liberté. Faut s’accrocher. P.W.  Source

Propulsé par WordPress.com.

Retour en haut ↑